Points critiques - n° 375 - mars-avril 2018 - "Résistances"

Sommaire

  • Éditorial
    Anne Grauwels
  • Focus
    Ignace Lapiower, juif partisan armé
    José Gotovitch
    À mon pére résistant
    Alain Lapiower
    Résitance sans frontières
    Élodie Francart
    Histoire, mémoire et point godwin
    Françoise Nice
    Groupov, Koniec? 
    Jacques Delcuvellerie
    Ma vie d’agitateur professionnel…
    Gérard Weissenstein
    Lutte de femmes – la vague #metoo
    Irène Kaufer
    Refuzniks: résister en israël
    Sharon Geczynski 
  • Israël – Palestine
    Il y a gifleuse et gifleuse
    Henri Wajnblum
  • Agenda
  • Lire
    À propos d’une circoncision fantôme
    Elias Preszow
    Cause toujours… le chat du rabbin
    Gérard Weissenstein
    Je est un juif
    Antonio Moyano
  • Fiction
    Esprit de compétition, es-tu là ?
    Irène Kaufer
  • Humeurs judéo-flamandes
    gut-, schlecht-, et autres menschen
    Anne Gielczyk
  • Voir
    Voyage au pays du collage et des collagistes /5
    Jacques Aron
  • Yiddish? Yiddish! שטיל די נאַכט – פאַרטיזאַנער ליד
    shtil di nakht – partisanerlid
    La nuit est calmeChant des partisans
    Henri Wajnblum
  • Vie de l’upjb
    Madame Maggy /2
    Jo Szyster
  • Upjb jeunes
    À notre échelle, nous résistons
    Achille Renard

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CHAMPS DE BATAILLE

Éric Derkenne a fait du visage le théâtre de ses précises opérations.Jour après jour cerné de lignes ombrageuses, le siège du combat se disloque en de sombres cavités. Les yeux, les oreilles, les narines, la bouche sont autant de gouffres que l'artiste sonde inlassablement et qui emportent celui qui les scrute dans des tourbillons vertigineux. Les têtes prennent corps et dans ce bataillon de figures totémiques, chaque soldat se distingue grâce à une infinité de détails graphiques.Parti d'un bigbang de formes colorées et isolées dans l'espace, Éric Derkenne a mis en place au fil des ans une méthode précise et immuable, un réseau de circonvolutions de cercles et de serpentins qui envahit la feuille blanche, donnant naissance à d'énigmatiques portraits. Tel une « dentellière du stylo à bille », il s'est abîmé avec application dans ce lent ouvrage de tissage, d'entrelacement de lignes, ceignant sa propre image, par maints assauts répétés. À l'identité qui défaille, Éric Derkenne a répondu…