Le temps du minéral ignore les limites XX
Après-midi de fin d’été à Uccle dans la maison de Philippe Jones et de son épouse Françoise.
Lorsqu’on arrive dans le bureau, au-delà du salon, le regard, porté d’abord vers la lumière du jardin vert, encore fleuri de rouge avec les arbres en fond, est ramené naturellement vers l’intérieur grâce à la courbe de la grande baie vitrée. La vie efface un mur qui refuse l’espace
chaque fenêtre offre un envol XX Il s’établit ainsi une sorte de va-et-vient entre la nature et cet espace intérieur où vivent dans l’harmonie les tableaux et les sculptures. Quant à la maison familiale, celle dans laquelle on a vécu quelques décennies, où l’on a grandi avec ses parents, où l’on a vécu bonheurs et drames, que l’on a aménagée selon son goût, où l’on vit avec sa compagne, du premier étage on regarde son jardin : des parterres…