Pétra

RÉSUMÉ

La famille N’Songo a l’immense joie de vous faire part de l’arrivée dans son foyer de la petite Pétra. Elle mesure 17 centimètres, pèse 475 grammes, a la reconnaissance vocale intégrée et pivote à 360 degrés.

Impossible de s’en débarrasser. 

À PROPOS DE L'AUTEUR
Marie Renson

Auteur de Pétra

Marie Renson est née en 1977. Après des études en Langues et Littératures romanes et un passage par la Kleine Academie, elle collabore pendant 10 ans avec le Théâtre Oz en tant que comédienne et metteuse en scène. Aujourd’hui, elle enseigne le français et l’expression théâtrale à une flopée d’adolescents passionnants. Écrire est pour elle une activité hautement jubilatoire. Pétra est sa première publication.

AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Pétra"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 10367 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Contes carnivores

Quatorze récits dans lesquels le fantastique se mêle au drolatique et à l'onirique. D'étranges…

Monsieur Satie : L'homme qui avait un petit piano dans la tête

Pour découvrir l'oeuvre d'Erik Satie à travers une histoire et des extraits des plus célèbres pièces du compositeur. Mélancolique et triste à souhait, cet album-CD n’en est pas moins magnifique. Parler d’Erik Satie - le solitaire, le marginal, l’excentrique souvent incompris -impliquait un ton décalé, gentiment moqueur et grinçant, que rend très bien la voix du récitant François Morel (qui doit sa célébrité, rappelons-le, à l’émission télévisée des Deschiens sur Canal +). Ce n’est pas une araignée au plafond mais juste un petit piano que Monsieur Satie a dans la tête. Les notes de musique y trottent, y vagabondent sans relâche. Il est audacieux, anticonformiste, se moque du wagnérisme et des vaniteux. De son cœur s’échappent des mélodies simples pour rêveurs et poètes, un public qui lui ressemble. « Monsieur Satie parle parfois à la lune. » Et parfois aussi, « Monsieur Satie met son smoking pour écrire une partition. » Il compose, explore, mélange les genres au risque d’être méprisé. Certains l’admirent cependant, comme Cocteau ou Picasso. L’illustratrice Elodie Nouhen évoque bien l’esprit des surréalistes et la solitude du petit monsieur perdu dans le tourbillon des notes. Touches de piano, métronome, partitions…sont surdimensionnés par rapport au musicien qui ne semble pas plus haut que trois chapeaux. Ce que Raymond Lulle appelait « la tristesse par surabondance de pensée » s’applique…

Vous faites quoi dans la vie?

Un recueil de 18 nouvelles sur le thème du travail. Chaque texte…