Que ne ferait-on pas par amour pour son enfant ? Mais la plus belle preuve de cet amour n’est-elle pas de pouvoir le laisser s’envoler et suivre son propre chemin ? Un texte d’une grande poésie qui exprime avec justesse tout la profondeur de l’amour d’un parent pour son enfant. Les illustrations de Marion Arbona apportent des réponses concrètes à la poésie du texte.
Que ne ferait pas un parent pour son enfant ? Sa plus belle déclaration est sûrement de le laisser partir, s’épanouir et voler de ses propres ailes. Poésie allégorique sur l’amour inébranlable des parents, cette histoire se lit avec facilité et plaisir... Parce que je t’aime / Texte d’Angèle...
À quoi rêvent les crayons le soir, au fond des cartables ?
« Tous les enfants rêvent de devenir grands. Tous les crayons rêvent de devenir petits. » Le soir, dans le fond des cartables, les crayons rêvent. Mais à quoi ? Ils songent et écrivent des mots, des mots inventés ou des mots croisés. Ils s’imaginent en train de composer les couleurs de l’arc-en-ciel ou de rétrécir tant ils sont utilisés. Car finalement, c’est leur but ultime : laisser une trace et devenir des souvenirs. Cet album accessible est une véritable invitation à laisser voyager son imagination. Chaque page est bien dosée par le texte poétique de Zidrou et subtilement illustrée grâce au crayonné de David Merveille mélangé aux photographies de Françoise Robert. Ces trois artistes ont combiné avec talent les sonorités, les rythmes, les mots, les images, les sensations et les émotions. L’alchimie donne vie aux différents crayons représentés et à leurs aspirations. Tout naturellement, le lecteur prend le chemin des mots et les relit plusieurs fois, dans le but de s’imprégner encore plus. Il en demande, encore et encore ! À son tour de répondre à la question : « Au fond des cartables, à quoi rêvent ses propres crayons ? » (Nathalie Bouillot) Le soir, au fond des cartables, les crayons rêvent... Ils rêvent d'écrire des mots d'amour,…
Eliza va assister à un grand spectacle. On lui a dit qu’il était « fabuleux », « épatant…
Un arbre, une petite maison… pour les oiseaux… Maman m’a dit : « Mon chéri, un jour tu seras tellement géant…