Pantagleize


RÉSUMÉ

Dans une ville d’Europe, au lendemain d’une guerre et à la veille d’une autre, Pantagleize, « philosophe de profession » s’interroge sur sa vie : un horoscope lui a prédit que son destin débuterait à l’aube de ses quarante ans pour cesser le soir même. Et il a quarante ans aujourd’hui. Lors de sa promenade quotidienne, il s’adresse aux passants par une de ses phrases-types, banales, conventionnelles : « Quelle belle journée ! ». Or ces mots servent de signal…

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À PROPOS DE L'AUTEUR
Michel de Ghelderode
Auteur de Pantagleize
Pseudonyme de Adémar Adolphe Louis MAERTENS. La biographie de Michel de Ghelderode a souvent été étudiée (v. bibliographie), nous ne rappelons ici que les dates essentielles. 1898 : le 3 avril, naissance à Ixelles d'Adémar Adolphe Louis Martens. Son père est fonctionnaire aux Archives Générales du Royaume. 1906-1914 : études à l'Institut Saint-Louis de Bruxelles. Sérieux problèmes de santé. Toute sa vie, il sera confronté au spectre de la maladie. 1915-1917 : début d'études (alto) au Conservatoire Royal de Musique. 1917 : premiers articles artistiques dans la revue Mercredi-Bourse. 1918 : adoption du pseudonyme Michel de Ghelderode. Représentation de la première pièce, La mort regarde à la fenêtre. 1923 : entrée en fonction à l'administration communale de Schaerbeek. 1922-1924 : activité intense : nouvelles, pièces pour marionnettes. En 1924, mariage civil avec Jeanne-Françoise Gérard rencontrée à la librairie Lebègue où l'auteur a travaillé comme commis. 1928-1929 : Escurial et Barabbas. Collaboration au VVT (théâtre populaire flamand). Il écrit en français des pièces qui seront traduites en flamand. 1930-1937 : création théâtrale intense. 1939 : Prix Triennal de littérature. En février, Ghelderode cesse officiellement d'écrire pour le théâtre et retourne aux contes. 1943 : son état de santé s'aggrave. 1945-1946 : à cause de son activité littéraire ininterrompue pendant la guerre, le dramaturge est révoqué par le Conseil communal de Schaerbeek, puis simplement suspendu pour trois mois. L'écrivain se fait pensionner pour maladie. 1947-1949 : le théâtre de Ghelderode est monté à Paris, notamment par Jean-Louis Barrault. 1950-1953 : grand succès dans la capitale française. En 1953, pas moins de sept pièces y sont représentées. 1954 : pour la deuxième fois, il reçoit le Prix Triennal de littérature. Début de la période «internationale» de Ghelderode. Ses pièces sont jouées un peu partout dans le monde. 1962 : le 1er avril, Ghelderode meurt à Schaerbeek.

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