Nul en calcul : un compte

RÉSUMÉ

 » Multiplier les rencontres avec les autres, ça c’est important. Et plutôt deux fois qu’une !  » M. Mouton, représentant.

 » Quand on y pense, on est tous plus ou moins nul en calcul !  » F. Cochon, architecte.

 » Le plus qu’on est d’amis, le plus qu’on s’amuse, le moins qu’on s’ennuie « . S. Coccinelle, employée.

 » Dans la vie, y a que l’amour qui compte « . Irène, une lapine.

À PROPOS DE L'AUTEUR
Benoît Jacques

Auteur et illustrateur de Nul en calcul : un compte

Né le 20 juin 1958 à Bruxelles

Communication graphique, Académie royale des Beaux-Arts, Bruxelles La Cambre, Bruxelles

Surtout pas de thème, encore moins de techniques et strictement aucune méthode de travail. Lauréat d’une Bourse de la Fédération Wallonie-Bruxelles – Aide à la création, 2007 Lauréat du Grand Prix Triennal de Littérature de Jeunesse de la Fédéraion Wallonie-Bruxelles, 2012

AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Nul en calcul : un compte"
stdClass Object ( [audiences] => Array ( [0] => 9536 ) [domains] => Array ( [0] => 9534 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Lou et Mouf : L’heure du bain

Texte et dessins de Jeanne Ashbé.Avec Jeanne Ashbé, les bébés sont…

Au pays de la mémoire blanche

Rousseau, rescapé d’un attentat, se réveille couvert de bandelettes dans une chambre d’hôpital. Côté mémoire, c’est le blanc total. Question identité, il découvre sur ses papiers qu’il fait partie des “chiens”, tandis que les “chats” sont les réprouvés d’un monde violent et policier où les murs poussent le temps d’un songe. Commence alors une longue quête personnelle teintée de fantastique, tandis que les chats luttent pour leur liberté. Grâce à sa “mémoire blanche”, Rousseau va regarder le monde d’un œil neuf et peut-être, pouvoir le changer.…

À quoi rêvent les crayons le soir, au fond des cartables ?

« Tous les enfants rêvent de devenir grands. Tous les crayons rêvent de devenir petits. » Le soir, dans le fond des cartables, les crayons rêvent. Mais à quoi ? Ils songent et écrivent des mots, des mots inventés ou des mots croisés. Ils s’imaginent en train de composer les couleurs de l’arc-en-ciel ou de rétrécir tant ils sont utilisés. Car finalement, c’est leur but ultime : laisser une trace et devenir des souvenirs. Cet album accessible est une véritable invitation à laisser voyager son imagination. Chaque page est bien dosée par le texte poétique de Zidrou et subtilement illustrée grâce au crayonné de David Merveille mélangé aux photographies de Françoise Robert. Ces trois artistes ont combiné avec talent les sonorités, les rythmes, les mots, les images, les sensations et les émotions. L’alchimie donne vie aux différents crayons représentés et à leurs aspirations. Tout naturellement, le lecteur prend le chemin des mots et les relit plusieurs fois, dans le but de s’imprégner encore plus. Il en demande, encore et encore ! À son tour de répondre à la question : « Au fond des cartables, à quoi rêvent ses propres crayons ? » (Nathalie Bouillot) Le soir, au fond des cartables, les crayons rêvent... Ils rêvent d'écrire des mots d'amour,…