Neel Doff, la postérité douloureuse


[ Choix grammatical: dans cet article le féminin fait office d’indéfini. ]
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Les Bruxelloises connaissent toutes un peu Neel Doff (1858-1942). En tout cas celles qui sont déjà passées, au moins une fois, au bord des Étangs d’Ixelles et à côté de la place Flagey.
Entre les deux, sur un triangle d’herbe, souvent garni de divers accessoires abandonnés, trône une sculpture usée et verdie par le temps. Ce monument rend hommage à Charles De Coster et représente les deux héros de sa grande œuvre, La Légende d’Ulenspiegel.
Le personnage de Nele, penché sur son mélancolique amant, a les traits de Doff qui posa pour le sculpteur Charles Samuel. Ce visage anonyme, à part pour quelques connaisseuses qui viennent rendre hommage, de temps à autre, à De Coster ou à Doff, est l’une des seules traces laissées par l’écrivaine dans l’espace public en Belgique.

Ce peu de reconnaissance – la seule rue à son nom se trouve à Gand et c’est…

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