«Françoise Houdart, dont on sent qu’elle vit dans ses tripes […] la lente marche de Pélagie à la rencontre d’elle-même, décrit avec beaucoup de finesse les hésitations secrètes, ces élans mêlés de retenue, de la vieille dame. Pélagie, qui se fait tellement prier pour raconter un peu d’elle-même à ce vieil inconnu. Pélagie qui sent pourtant, sans vouloir se l’avouer, que cette rencontre lui fait du bien. Pélagie qui, après une vie dans l’ombre, découvre qu’elle peut épater…»
Dans un village dévasté par la guerre et dont les uniques survivantes sont des femmes, un sacrifice se prépare.…