Mystérieux objet céleste

RÉSUMÉ

MOC est un journal au format tabloïd, fruit de la résidence de ses deux auteurs au festival Livresse en 2018 à Charleroi. 30 pages de récits d’OVNI hallucinés ! Les témoignages sont directement tirés du livre « OVNIS– 1 siècle d’observations dans la nord de la France » par Jean-Pierre d’Hondt.

Ce journal est une co-édition du Vecteur et de L’employé du Moi et n’est disponible à la vente qu’en festival.

À PROPOS DES AUTEURS
Gaspard Ryelandt

Auteur de Mystérieux objet céleste

Après des études de bande dessinée à Saint-Luc à Bruxelles, Gaspard Ryelandt écrit et dessine son premier livre Éclosion aux Editions de l’Employé du Moi. Cette première oeuvre sera suivie par la revue « M.O.C » toujours chez le même éditeur en collaboration avec l’auteur Mortis Ghost. Il participe ensuite aux différentes publications du collectif Cuistax durant quelques années.
Mortis Ghost

Illustrateur de Mystérieux objet céleste

Mortis Ghost vit à Bruxelles. Il aime manger, dessiner et jouer aux jeux vidéos. Mais la chose qu’il préfère, c’est la bande dessinée. Il en fait seul ou avec ses amis, et il les pose un peu partout : dans des livres, dans des fanzines, sur internet, par terre. Il est notamment l’auteur de Dr. Cataclysm, une saga de science-fiction où tout le monde est normal, et du Soleil des Mages, une aventure nonchalante et débonnaire qui fait fortement penser à une épopée mondialement connue.

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Klimt

Vienne, 1907. Le peintre Gustav Klimt rend visite aux époux Bloch-Bauer. Ferdinand demande alors à Gustav de réaliser le portrait de sa femme, Adèle ; requête entraînant un flashback. Six ans auparavant, alors que Klimt essuyait des critiques acerbes au sujet de son œuvre La Médecine , il a rencontré ce couple, admirateur de son génie et dont la femme l’a prié de lui ouvrir les portes de son atelier. Au même moment, l’artiste recevait en rêve l’inspiration pour son prochain tableau. C’est par ce prisme que l’on entre dans l’univers de l’artiste : son atelier, ses modèles, sa mère, sa compagne, Émilie, mais aussi ses rêves, ses angoisses, ses sources d’inspiration en somme. L’histoire narrée en bande dessinée par Cornette et Marc-Renier est une tranche de vie, prétexte à l’évocation du peintre, de son style, de son époque et de l’avant-gardisme dont il y faisait preuve. L’idée est en effet plus de mettre en avant ses particularités que de réaliser sa biographie. Le récit est assez simple et aurait peu d’intérêt sans l’aspect « inspiré de faits réels », mais n’en est pas moins cohérent et bien rythmé.Les dessins sont soigneusement détaillés. Le rendu est classique, avec un crayonné assez fort accentuant les sujets principaux. Les travaux de Klimt évoqués sont réinterprétés plutôt que cités et le résultat est réussi et efficace : le redesign des œuvres permet une intégration fluide dans les cases tout en invitant à les découvrir sous un angle neuf.Le récit principal est suivi d’un court cahier didactique sur Gustav Klimt. Il complète la bande dessinée en développant quelques sujets qu’elle évoque. On y voit notamment des reproductions des œuvres évoquées dans l’album. Ainsi, le lecteur a à portée de main de quoi satisfaire sa curiosité, titillée par l’histoire racontée en images et phylactères.La bande dessinée Klimt est une introduction sympathique à l’œuvre de l’artiste. Les connaisseurs n’apprendront probablement pas grand-chose, là où les néophytes apprécieront l’accessibilité du propos et les informations proposées en fin d’ouvrage. Les visuels soignés plairont aux amateurs de bande dessinée traditionnelle, alors que l’histoire…