Giverny. Début du 20e siècle. Un vieil homme s’obstine à saisir l’intimité de la matière à travers le motif obsédant des Nymphéas. C’est Monet. Malgré une double cataracte, il travaille avec frénésie pour offrir à la France, comme célébration de fin de guerre, ses Nymphéas, qui marqueront l’apogée de son art. Parcourant les méandres de la création, Stéphane Lambert fait revivre, au plus près de leur voix intérieure, Monet, sa belle-fille, Blanche, et Clemenceau, l’ami fidèle,…
Pour la deuxième fois, Stéphane Lambert écrit sur Monet, à nouveau sur les Nymphéas. Après l’Adieu au paysage : les Nymphéas de Claude Monet, paru en 2008, voici Monet, Impressions de l’étang, complément mais aussi supplément au premier livre déjà très inspiré sur le rapport entre le peintre et ses œuvres ultimes. Un premier essai documenté qui montrait aussi la relation entre Giverny, l’Orangerie à Paris et le ressenti du narrateur traitant de cette matière selon son émotion et une réflexion intime. Bien qu’ils soient sous-entendus dans le second ouvrage, on devinera la présence de ces mêmes éclairages et qu’ils ont présidé au choix renouvelé du thème.Celui-ci présente la mise en texte d’une fiction radiophonique…
Les personnes nées au début des années 1950, celles ayant vécu leur jeunesse en Gaume et y ayant fréquenté des établissements scolaires des deux réseaux d'enseignements, celles ayant effectué des…