L’écriture, autobiographique, se love dans le quotidien comme au creux du lit. Ainsi le «moi» est-il mis en pages. S’arrêter sur des objets : le bouquet de lys. Des moments : le jour de l’an ou un 12 mars. Des lieux : la cuisine, la rue, le jardin. De grands moments de sensualité : «souffle sur la soie tiède qui fait voler la page» L’écriture et le corps, les plaisirs. Traversées de nostalgie. Flashes d’enfance pour chasser «l’arrêt judicieux du décompte final». Il y a aussi des vagabondages : rester ou partir ?
Auteur de Mise en pages
Préface de Philippe Jones À propos du livre Mélot du Dy, né à Bruxelles en 1891, mort à Rixensart en 1956,…
« La poésie est comme la philosophie – ou devrait au moins faire comme elle,…