« En apparence, Max avait laissé Auschwitz derrière lui. Une histoire ancienne qui avait fini par s’effacer, comme dans mon souvenir le numéro tatoué sur son bras qu’enfant je connaissais par cœur, et que j’avais pourtant fini par oublier. Mon grand-père Max était à présent un homme d’affaires, qui associé à Pavel, son vieil ami des camps, trafiquait par-dessus le mur de Berlin pour alimenter la nomenklatura d’Allemagne de l’Est en produits de luxe. Tout aurait été pour le mieux, Max…
Auteur de Max, en apparence
Toute la difficulté et l’ambiguïté actuelles des relations médecin-patient s’articulent…