Marcher noir : Chroniques du monde confiné


RÉSUMÉ

Recueil de quarante-cinq chroniques écrites entre avril 2020 et avril 2021.


À PROPOS DE L'AUTEUR
Marc Meganck
Auteur de Marcher noir : Chroniques du monde confiné

Marc Meganck est né à Bruxelles en 1975. Licencié en Histoire et diplômé en Gestion culturelle de l’Université libre de Bruxelles, une rencontre avec l’éditeur Bernard Gilson au cours de ses études réveille en lui son désir d’écriture. C’est ainsi qu’en 2007, il publie son premier roman : Génération Raider chez Bernard Gilson Éditeur. Il collabore égalemet par la suite avec d’autres éditeurs (Aparté, 180° éditions…). Ses thèmes de prédilection sont déjà en place. Les petits riens de cette vie quotidienne qui nous colle à la peau. Les bistrots de quartier, la déambulation urbaine, la musique, l’amour, la mort de l’amour, l’amitié, la référence au père…

Les romans et les nouvelles se suivent : le voyage et les rock-stars décédées à 27 ans (Deux fois par an, 2009), un road movie sur les bords du Saint-Laurent au Québec (Port-au-Persil, 2010), ou encore un recueil de seize nouvelles liées entre-elles à la manière d’un faux roman (Camionnette rouge, 2010). En 2012, dans Les Dessous de la Cambre, il crée le personnage de Van Kroetsch, un chômeur longue durée jouant au détective privé, menant des enquêtes déjantées à Bruxelles et ailleurs. Avec Une Vie belge (2013), il nous offre un autre road-movie inter-générationnel dans lequel il espère trouver – en vain – un sens à ce pays de dimensions réduites dans lequel il vit. En 2014, Van Kroetsch est de retour dans Le Pendu de l’Îlot Sacré, pour une virée surréaliste à la découverte d’un Bruxelles face B.
 



NOS EXPERTS EN PARLENT...
Le Carnet et les Instants

Avec un mois d’écart, Marc Meganck publie deux titres qui partagent des thèmes devenus propres, ayant développé pour lui-même toutes les qualités d’un anti-héros : un beau quadra inquiet du temps qui passe dans une société qui le dépasse à grande vitesse. Or cet état lui permet de parfaire son art subtil de la dépression tranquille, animée d’une passive lucidité souffrant, oui, souffrant, de sympathie et d’empathie pour le monde qui l’entoure directement.Connu pour aimer marcher en ville et écrire dans la vitrine des cafés ou près de la porte des troquets, bistrots, pubs, zincs, rades, estaminets et autres caboulots, ceci lui a été refusé par les confinements sanitaires, par la fermeture de ses nombreux offices et…


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