Ma petite jeunesse à Bouillon


RÉSUMÉ

François-Ernest Twiesselmann est né à Bouillon en 1910 ou il a passé sa prime jeunesse. Les souvenirs qu’il nous livre ici frappent par leur précision et constituent une fresque méticuleuse de la vie quotidienne à Bouillon sous l’occupation allemande de 1914-1918.

  lire la suite sur  Service du Livre Luxembourgeois

À PROPOS DE L'AUTEUR
François Twiesselmann
Auteur de Ma petite jeunesse à Bouillon
François-Esnest Twiesselmann est né à Bouillon le 15 décembre 1910, où il a vécu toute son enfance. Après avoir fréquenté l'école communale, il fait ses humanités gréco-latines à l'Athénée Royal de Bouillon. Il a poursuivi ensuite ses études à l'Université Libre de Bruxelles où il a obtenu le diplôme de Docteur en médecine, chirurgie et accouchements le 22 juillet 1936. Esprit doué, intéressé par l'Homme dans tous ses aspects, sa carrière s'oriente rapidement vers la recherche : il entre la même année à l'Institut des Sciences Naturelles comme "Aide-naturaliste stagiaire" avec pour missions de créer une section d'Anthropologie, qui devait être plus tard rattachée à la section de Préhistoire de cette institution. Il gravit ensuite les échelons d'une carrière vouée à la recherche : il devient successivement "Conservateur-Adjoint" en 1942, "Conservateur" en 1946, "Directeur de laboratoire" en 1949, "chef de travaux agrégé" en 1965, et "Chef de Section" en 1969, sa mise à la retraite le 1er janvier 1976 clôture une brillante carrière de chercheur. Parallèlement à cette activité qui a été jalonnée d'une centaine de publications scientifique (la dernière est datée de 1992 !) François Twiesselmann a poursuivi une carrière d'enseignant à l'Université Libre de Bruxelles où il a pu faire bénéficier des générations d'étudiants de son érudition et de sa très grande disponibilité. En effet, dès 1939, il est nommé Chargé du cours d'Anthropologie, puis en 1949, il est promu Professeur ordinaire à l'Université Libre de Bruxelles après avoir défendu une thèse d'Agrégation de l'Enseignement supérieur en Sciences anatomiques. L'éclectisme de sa démarche est illustré par la diversité des orientations d'études dans lesquelles il enseignait : en Faculté des Sciences, des Sciences Sociales, de Médecine, de Philosophie et Lettres, de Sciences Psychologiques et Pédagogiques et de Droit. Comme chef de travaux au laboratoire d'anatomie et d’Embryologie humaines et chargé de l'enseignement de la génétique humaine, il acquiert une connaissance approfondie de l'Homme dans sa constitution physique, par ses recherches effectuées à l'Institut naturelle dans les domaines de la paléontologie et de la Préhistoire, il a enrichi ce savoir par une approche histoire et naturelle. Twiesselmann professait pour la civilisation et la culture françaises un attachement particulier: il aimait à rappeler que pour les Bouillonnais, la ville la plus proche était Sedan et il avait adopté «France» comme l'un des prénoms donnés à sa fille. Il décéda le 12 mai 1999.

AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Ma petite jeunesse à Bouillon"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 9143 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

L'Ardenne des 4 fils Aymon

Alard, Renaud, Guichard et Richardet, tous les quatre fils du duc Aymon, se sont révoltés contre Charlemagne. Pendant plusieurs années, une traque opérée par les guerriers du roi mène les fils Aymon de l'Ardenne à la Gascogne où sièges et embuscades, fuites et poursuites, se succèdent à un rythme palpitant. Finalement, las de ces combats, les quatre frères se réconcilient avec Charlemagne. Mais n'allez pas croire qu'ils ont tenu tête au roi uniquement grâce à leur vaillance. Leur cousin, Maugis l'enchanteur, Bayard, un cheval-fée capable d'accomplir des sauts prodigieux, et Flamberge, une épée magique, leur seront de précieux auxiliaires. Une des plus belles épopées de France, digne des meilleurs romans arthuriens, racontée par Jean-Luc…

L'Ardenne antique

Les dieux déchus Des milliers d'années durant, l'homme a vénéré les eaux, les arbres, les pierres, les sommets, les astres. Née de cette religion naturaliste, une foule de dieux et de divinités aux profils parfois complexes a régné sur les croyances et les superstitions de nos ancêtres gaulois, puis gallo-romains. Parmi eux, on distingue notamment Ésus, Teutatès,…