De sages paysages aux doux pastels jalonnent ce nouveau recueil de Martine Rouhart, comme autant d’instantanés prenant par la main et le chemin des saisons. Loin des routes agitées, les sons de la nature, dont surtout le coulis de l’eau, sont pris en charge par la plume murmurante de l’auteure, perceptible à l’oreille, transformant son écriture en une rivière de mots légers et parfumés ; quoique sans plus d’illusions.Je suis encore dans mes motsà éveiller le printemps parler la languedu ruisseaufleurir des cheminsvers nulle partC’est, malgré tout, Martine à la campagne, en balade de cailloux en épis, de sentiers en vallons, de petite voix intérieure en paroles…
Échange Virtualité délaissée des rêves du cybernespace, Virtuosité inconsciente aux vents…