Dans ce dernier texte « majeur » composé en wallon de Tenneville, Rodolphe Dedoyard utilise ici un procédé qui rappelle celui adopté par le pape Jean-Paul Ier, écrivant aux saints du paradis. À défaut de pouvoir dialoguer directement avec le bon Dieu, l’abbé s’adresse lui aussi à ces saints, dont il connaît manifestement bien la vie. Mais Rodolphe Dedoyard et l’écriture, c’est deux ! Il téléphonera donc, à chaque fois qu’il se trouvera dans la dèche.Animé d’une foi à renverser…
Auteur de Li tèlèfone do curè. Le téléphone du curé
Li Rantoele - L° 83 - Av passé des bounès fiesses? Waeyén-tins 2017
Sommaire • Est ç’ vormint l’ dierin moumint ? par Lucien Mahin • Çou k’ djåzer…
Douze tragédies.Derrière chacune se cache un homme : un mari, un fils, un frère, un père,…