Dans ce dernier texte « majeur » composé en wallon de Tenneville, Rodolphe Dedoyard utilise ici un procédé qui rappelle celui adopté par le pape Jean-Paul Ier, écrivant aux saints du paradis. À défaut de pouvoir dialoguer directement avec le bon Dieu, l’abbé s’adresse lui aussi à ces saints, dont il connaît manifestement bien la vie. Mais Rodolphe Dedoyard et l’écriture, c’est deux ! Il téléphonera donc, à chaque fois qu’il se trouvera dans la dèche.Animé d’une foi à renverser…
Auteur de Li tèlèfone do curè. Le téléphone du curé
Li Rantoele - 72 - 72 / ivier 2014-2015
Sommaire • Istwere : djusse divant l’ fén di l’ URSS: Tchanteu d’ rok a Vladivostok par Jean-Louis De Weirt • Eternåcionå : Berlôrer d’ ene guere…