Dans ce dernier texte « majeur » composé en wallon de Tenneville, Rodolphe Dedoyard utilise ici un procédé qui rappelle celui adopté par le pape Jean-Paul Ier, écrivant aux saints du paradis. À défaut de pouvoir dialoguer directement avec le bon Dieu, l’abbé s’adresse lui aussi à ces saints, dont il connaît manifestement bien la vie. Mais Rodolphe Dedoyard et l’écriture, c’est deux ! Il téléphonera donc, à chaque fois qu’il se trouvera dans la dèche.Animé d’une foi à renverser…
Auteur de Li tèlèfone do curè. Le téléphone du curé
C'était l'époque où l'on chantait, où l'on jazzait, où l'on patoisait, où l'on dialectisait...C'était…
Moudes a rvinde (Meurtre à gogo)
Florenville, Bizory, Mabompré, Grimbiémont, Marche-en-Famenne, Hébronval,…
Jacques Desmet est une silhouette bien connue des « tauveléyes » (tables de conversation) et des cabarets…