Les rois des belges

RÉSUMÉ

En 1830, la Belgique est devenue un pays. Et elle a choisi de devenir une monarchie constitutionnelle. De Léopold 1er à Philippe, les rois des Belges ont toujours été indissociables de l’histoire de la nation. Cette bande dessinée raconte leur histoire, sans doute pour la première fois de façon dépassionnée.

À PROPOS DES AUTEURS
Arnaud de La Croix

Auteur de Les rois des belges

Arnaud de la Croix est licencié en philosophie de l'Université catholique de Louvain. Il est actif dans le monde de l’édition belge depuis 1983. Après avoir assuré la direction éditoriale des éditions du Cri entre 1983 et 1987, il devient l’un des éditeurs du département « jeunesse » des éditions Duculot. Il rejoint les éditions Casterman en 1993 à la faveur du rachat du fonds Duculot par l’éditeur tournaisien pour, dans un premier temps, s’occuper du département jeunesse. Mais cet ancien collaborateur des Cahiers de la Bande Dessinée ne pouvait en rester là : en 1999, il y devient également éditeur dans le secteur BD. Cet historien médiéviste a écrit plusieurs essais consacrés au Moyen Âge : « Sur Les routes du Moyen Âge » (1997), « Arthur, Merlin et le Graal » (2001) et « Les Templiers, Au cœur de la croisade » (2002), « Érotisme au Moyen Âge : Le corps, le désir, l’amour » (2003) et enfin « L’Ordre du Temple » (en 2006). On lui doit aussi un excellent essai sur Blueberry : Blueberry, une légende de l’Ouest (Éditions Point Images, 2007). En 2010, Arnaud de la Croix rejoint l’équipe des éditions du Lombard et y prend en charge, en collaboration avec Pôl Scorteccia, la coordination et le développement de l’ensemble du catalogue. Il assure notamment une responsabilité spécifique et exclusive sur le suivi et le déploiement de la série « Thorgal » et des univers qui y sont liés. Il a également enseigné l’Histoire de la Bande Dessinée à l’ERG, à l’Institut Saint-Luc de Bruxelles et à l’Académie des Beaux-Arts de Bruxelles.
Source : actuabd.com
Jean-Philippe Thivet

Auteur de Les rois des belges

Jean-Philippe Thivet est un auteur, éditeur et producteur franco-belge. Auteur de bande-dessinée, Jean-Philippe Thivet publie en 2017 le 1er volume de Philocomix aux éditions Rue de Sèvres (l’école des loisirs) : c’est un succès international (plus de 100.000 exemplaires vendus ; traductions en italien, espagnol, coréen, indonésien, vietnamien, chinois simplifié et complexe). Suivent deux autres volumes de Philocomix, puis Libres de penser. En parallèle, il scénarise des titres consacrés à l’histoire du pays qui l’a adopté, la Belgique (Bruxelles, 3 volumes parus chez Petit à Petit et Les Rois des Belges, aux éditions du Lombard). Né le 1er octobre 1978 à Épinal dans les Vosges (France), Jean-Ph. Thivet passe sa jeunesse dans la cité thermale de Vittel. Il a une sœur, Anne, également autrice, et historienne, comme leur mère Colette. Il a étudié au sein de la Ekonomihögskolan de Lund (Suède - 2000) et il est diplômé en 2002 de l’ESCP Europe (Sup’ de co Paris). Passionné par le livre, il débute dans l’édition en 2002, chez Casterman. Il occupe pendant 10 ans des fonctions de direction marketing et commerciale et des fonctions éditoriales au sein des maisons d’édition jeunesse et bande-dessinées des groupes Flammarion et Gallimard. Entre 2012 et 2022, il se consacre à des projets innovants, au carrefour du livre ou de la musique et du numérique. Il accompagne avec succès le développement de la plateforme américaine LingoZING! (apprentissage des langues à travers la bande-dessinée) ; de la start-up franco-coréenne delitoon (webtoons en langue française) ; de la maison de disques Microcultures (dont il est associé et pour laquelle il développe un modèle de production en marque blanche). Il accompagne entant que producteur la sortie d’albums sur le label éponyme. Son travail a notamment été récompensé à Londres en 2015 (Pixel Lab Prize -  Power to the Pixel). En 2022, il prend la direction de la succursale belge de l’école des loisirs, et partage son temps depuis lors avec ses activités d’auteur. Il intervient régulièrement auprès de publics professionnels (dans le cadre de formations et ateliers proposés par la SCAM-SACD, le Pilen ou béla) et d’étudiants (il enseigne le marketing au sein du master édition de La Sorbonne ; il est invité à partager son expérience par Sciences Po Paris et par des universités belges et françaises). Son expertise dans le domaine de la bande-dessinée lui permet de siéger en tant que Vice-Président au sein de la Commission des écritures et du livre de la Fédération Wallonie Bruxelles. Jean-Philippe Thivet est père de eux enfants, Charlotte et Valentin. Il vit et travaille en région bruxelloise. Lauréat d’une Bourse de la Fédération Wallonie-Bruxelles - Aide au développement, 2015 Lauréat d’une Bourse de la Fédération Wallonie-Bruxelles - Projet audiovisuel, 2015

AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Les rois des belges"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 9208 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Le bon père frédéric : messager de dieu de la Flandre au Québec

La vie de Frédéric Janssoone, franciscain ordonné prêtre en 1870, missionnaire et prédicateur, béatifié…

Klimt

Vienne, 1907. Le peintre Gustav Klimt rend visite aux époux Bloch-Bauer. Ferdinand demande alors à Gustav de réaliser le portrait de sa femme, Adèle ; requête entraînant un flashback. Six ans auparavant, alors que Klimt essuyait des critiques acerbes au sujet de son œuvre La Médecine , il a rencontré ce couple, admirateur de son génie et dont la femme l’a prié de lui ouvrir les portes de son atelier. Au même moment, l’artiste recevait en rêve l’inspiration pour son prochain tableau. C’est par ce prisme que l’on entre dans l’univers de l’artiste : son atelier, ses modèles, sa mère, sa compagne, Émilie, mais aussi ses rêves, ses angoisses, ses sources d’inspiration en somme. L’histoire narrée en bande dessinée par Cornette et Marc-Renier est une tranche de vie, prétexte à l’évocation du peintre, de son style, de son époque et de l’avant-gardisme dont il y faisait preuve. L’idée est en effet plus de mettre en avant ses particularités que de réaliser sa biographie. Le récit est assez simple et aurait peu d’intérêt sans l’aspect « inspiré de faits réels », mais n’en est pas moins cohérent et bien rythmé.Les dessins sont soigneusement détaillés. Le rendu est classique, avec un crayonné assez fort accentuant les sujets principaux. Les travaux de Klimt évoqués sont réinterprétés plutôt que cités et le résultat est réussi et efficace : le redesign des œuvres permet une intégration fluide dans les cases tout en invitant à les découvrir sous un angle neuf.Le récit principal est suivi d’un court cahier didactique sur Gustav Klimt. Il complète la bande dessinée en développant quelques sujets qu’elle évoque. On y voit notamment des reproductions des œuvres évoquées dans l’album. Ainsi, le lecteur a à portée de main de quoi satisfaire sa curiosité, titillée par l’histoire racontée en images et phylactères.La bande dessinée Klimt est une introduction sympathique à l’œuvre de l’artiste. Les connaisseurs n’apprendront probablement pas grand-chose, là où les néophytes apprécieront l’accessibilité du propos et les informations proposées en fin d’ouvrage. Les visuels soignés plairont aux amateurs de bande dessinée traditionnelle, alors que l’histoire…