Les oignons sont en fleur

À PROPOS DE L'AUTEUR
Norge (Géo Norge)

Auteur de Les oignons sont en fleur

Georges Mogin, dit Norge ou Géo Norge, est né à Bruxelles en 1898. Il a fait ses études au Collège Saint-Michel et s’est marié en 1918. En 1921, il a un fils, Jean Mogin. De 1920 à 1930, Norge est commis-voyageur en tissus, notamment dans la région du Centre pour laquelle il développe un intérêt particulier. Il observe les paysages des mines et les hommes du Pays Noir (Bertha, La lampe du mineur, Charbon). Dès 1923, il se tourne vers l’écriture. S’ensuit une période de production intense sous le nom de Geo Norge puis de Norge. En 1931, il fonde Le Journal des Poètes. Maurice Carême fait partie du comité de rédaction. La revue aura une renommée internationale et jouera un rôle capital dans la promotion de la poésie belge et étrangère. En 1940, il épouse le peintre Denise Perrier. De 1949 à 1954 s’ensuit une seconde période d’écriture intense. Les quatre recueils composant cette anthologie datent de cette période. En 1954, Norge devient antiquaire à Saint-Paul-de-Vence (France). De 1968 à 1973, c’est la troisième période de publication. En 1978, ses œuvres presque complètes sont publiées. Norge écrit toujours. En 1983, un hommage lui est rendu à la Maison de la Poésie de Paris. Entre 1985 et 1990, il publie deux de ses meilleurs recueils : Le Coq-à-l’âne (1985) et Le Stupéfait (1988). Il meurt à Mougins en 1990.

AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Les oignons sont en fleur"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Le calme

Une femme se rend auprès de celui qui lui a écrit 228 lettres en douze ans, à cause justement de la dernière lettre qu'elle a…

Depuis ce jour

Depuis ce jour, j'ai été adoptée par les familles de Papa et Maman. Pourtant, je suis heureuse. Depuis que ses parents sont décédés, Colette, sept ans, habite chez Tante Jane et Oncle Jean, qui la considèrent comme leur quatrième fille. Le jeudi, elle rend visite à sa soeur, qui réside chez Tante Antoinette, et, la fin de semaine, les deux fillettes retrouvent leur frère chez leurs grands-parents. Malgré quelques vagues de nostalgie et les visites au cimetière, elle vit heureuse en rêvant aux enfants qu'elle-même aura un jour. Un album abordant avec infiniment de sérénité et de simplicité la question du deuil des parents et de l'adoption par la famille. Des croquis rehaussés de lavis aux teintes chaudes ajoutent à la douceur…

L'élève Ducobu Vol 4. La lutte des classes

La vie à l'école n'est pas un long fleuve tranquille. Pour certains, l'année scolaire est même plutôt celle de tous les dangers.La vie à l'école n'est pas un long…