Les Maîtres de l´orge (tome 5) : Julienne, 1950

RÉSUMÉ
1950. L’Europe occidentale connaît un véritable âge d’or. Le plan Marshall donne ses pleins effets, la croissance est au rendez-vous et les G.I.’s ont fait découvrir le Coca-Cola et les fûts de bière en acier inoxydable. Quant à la brasserie Steenfort, elle vient d’inaugurer son nouveau siège au centre de Bruxelles.
À PROPOS DE L'AUTEUR
Jean Van Hamme

Auteur de Les Maîtres de l´orge (tome 5) : Julienne, 1950

Scénariste né en 1939, il a longtemps collaboré sur l'hebdomadaire Tintin.
Thorgal, Les Maîtres de l'Orge, Largo Winch et XIII sont parmi ses créations les plus populaires.

AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Les Maîtres de l´orge (tome 5) : Julienne, 1950"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 9208 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Les Schtroumpfs, T.28 La grande Schtroumpfette

La Schtroumpfette a la sensation que si tout le monde l'adore, elle n'est en revanche pas prise au sérieux. Pour lui donner l'occasion de s'affirmer,…

Le bleu est une couleur chaude

Prix Jeune Auteur au salon de Roubaix 2010 Prix Conseil Régional au festival de Blois 2010 Prix des lycéens de Guadeloupe 2011 Prix de la BD inter comité d’entreprises 2011 remis…

CHAMPS DE BATAILLE

Éric Derkenne a fait du visage le théâtre de ses précises opérations.Jour après jour cerné de lignes ombrageuses, le siège du combat se disloque en de sombres cavités. Les yeux, les oreilles, les narines, la bouche sont autant de gouffres que l'artiste sonde inlassablement et qui emportent celui qui les scrute dans des tourbillons vertigineux. Les têtes prennent corps et dans ce bataillon de figures totémiques, chaque soldat se distingue grâce à une infinité de détails graphiques.Parti d'un bigbang de formes colorées et isolées dans l'espace, Éric Derkenne a mis en place au fil des ans une méthode précise et immuable, un réseau de circonvolutions de cercles et de serpentins qui envahit la feuille blanche, donnant naissance à d'énigmatiques portraits. Tel une « dentellière du stylo à bille », il s'est abîmé avec application dans ce lent ouvrage de tissage, d'entrelacement de lignes, ceignant sa propre image, par maints assauts répétés. À l'identité qui défaille, Éric Derkenne a répondu…