Les enfants de la résistance (tome 5) : Le pays divisé


RÉSUMÉ

François, Lisa et Eusèbe poursuivent leur combat. Le réseau Lynx a dorénavant pour mission de protéger un « pianiste », un espion en charge de l’émetteur-récepteur qui permet à la Résistance locale de communiquer avec Londres.


À PROPOS DES AUTEURS
Vincent Dugomier
Auteur de Les enfants de la résistance (tome 5) : Le pays divisé
De son vrai nom, Vincent Lodewick, est né à Uccle le 20 août 1964, est un auteur belge de bandes dessinées.
Benoit Ers
Illustrateur de Les enfants de la résistance (tome 5) : Le pays divisé

Benoît Ers est un dessinateur de bande dessinée belge. Au gré des emplois de son père, il passe une partie de son enfance en Côte d'Ivoire puis en France, à Sucy-en-Brie.

Remarqué au concours de bande dessinée scolaire d'Angoulême, il entre à l'école des Beaux-Arts d'Épinal. Contacté par Marsu Productions, il quitte cette école après six mois et devient illustrateur à Liège. Il devient l'assistant d'Olivier Saive en tant que publicitaire. Il a également été l'illustrateur de la revue de la "fédération belge de recherche et d'activité sous marines".

A cette même époque, il y rencontre Dugomier avec qui il crée la série Muriel et Boulon en 1995 puis Les Démons d'Alexia en 2004. Sept tomes sont actuellement disponibles.

Il signe en 2008 cette nouvelle série Beauté fatale avec Jean-Louis Janssens aux éditions Vents d'Ouest. 


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Éric Derkenne a fait du visage le théâtre de ses précises opérations.Jour après jour cerné de lignes ombrageuses, le siège du combat se disloque en de sombres cavités. Les yeux, les oreilles, les narines, la bouche sont autant de gouffres que l'artiste sonde inlassablement et qui emportent celui qui les scrute dans des tourbillons vertigineux. Les têtes prennent corps et dans ce bataillon de figures totémiques, chaque soldat se distingue grâce à une infinité de détails graphiques.Parti d'un bigbang de formes colorées et isolées dans l'espace, Éric Derkenne a mis en place au fil des ans une méthode précise et immuable, un réseau de circonvolutions de cercles et de serpentins qui envahit la feuille blanche, donnant naissance à d'énigmatiques portraits. Tel une « dentellière du stylo à bille », il s'est abîmé avec application dans ce lent ouvrage de tissage, d'entrelacement de lignes, ceignant sa propre image, par maints assauts répétés. À l'identité qui défaille, Éric Derkenne a répondu…