Les contes noirs du golf

RÉSUMÉ
Médiocre golfeur s’il en fut, Jean Ray s’en venge dans ce recueil paru à titre posthume en 1964 mais constitué dans les années 1950 à partir de textes publiés dans la revue Golf – dont on retrouve ici les versions originales. Avec lui, le vert paradis des greens devient une scène de crime où s’assouvissent vengeances et haines confites ; où les balles cachent, sous leurs blanches rondeurs, des sortilèges immondes ; où déferlent les horreurs surgies des confins du temps. Il n’est jusqu’au bar select du club qui prend soudain des allures de tavernes borgnes. Là s’échangent les plus sombres souvenirs, tandis qu’au vestiaire s’accumule un bric-à-brac gothique. Chez Jean Ray, les links frôlent l’abîme et toute balle, un jour ou l’autre, s’égare en enfer. Bienvenue au club !
À PROPOS DE L'AUTEUR
Jean Ray

Auteur de Les contes noirs du golf

Jean Ray est le pseudonyme de Raymond De Kremer dont la biographie a été passablement romancée. En fait, sa vie est restée sédentaire et surtout animée par une abondante production d'écrivain populaire, rédigée sous divers pseudonymes: scénarios de bandes dessinées, histoires pour enfants, nouvelles policières, etc. L'auteur est surtout connu pour son ironique contribution au genre fantastique noir. Elle comprend en particulier des contes (Les Contes du whisky, 1925 ; Le Grand Nocturne, 1942 ; La Cité de l'indicible peur, 1943), mais on lui doit aussi un remarquable roman où fantastique et mythologie classique font bon ménage : Malpertuis (1943).

AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Les contes noirs du golf"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 10367 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Le jumeau perdu

Conte thérapeutique qui explique aux parents et à l'enfant les émotions et questions qui adviennent lorsque la maman est enceinte de plusieurs foetus et que la vie ne suit pas !Il permet de rappeler à la mémoire…

Cheveux Rouges

Une jeune femme reçoit en héritage les enseignements de sa grand-mère préférée, Nina,…