Dans Les canards blancs, Prix Jean Lebon 2014, Cécile Bastien s’inspire de l’expérience d’un fils de réfugié de l’ONU qui, à l’âge de huit ans, découvre la Hongrie rurale, encore meurtrie à la suite de l’insurrection d’octobre 1956.
La croix de la Mascarade, Prix de la Plume Mussonnaise 2006, évoque la guérison d’un adolescent dans un décor de légendes et de nature foisonnante.
Mieux vaut en rire, nouvelle atypique dans ce recueil,…
Dans le cadre splendide d'une nature gaumaise aux pouvoirs salvateurs, des laissés-pou-compte,…
L'effet papillon? Le grain de sable? La nature intrinsèque de l'homme? Qu'est-ce…