L’aube des motsL’horizon venait de blanchir.Personne ne savait vraimentsi c’était d’espoir ou d’effroi;dans ce matin intemporeloù cheminait encore un rêve,cantilène à peine ébauchéedans l’imprévu des grands espaces,la chimère se réveillaitau bord du précipice avide.Puis la lueur incandescenteattira la foule des motsconquise…
Rien dans cette longue confidence qui ne soit placé sous le signe de l'amour. Il y a d'abord celui…
Portrait par Carl Norac Préface par Liliane Wouters À propos du livre Dès les premiers…