De l’esprit d’un vent de mer qui transporte la poésie d’un rivage à l’autre, l’intime relation de l’écriture et de la peinture trouve destination.Barbara Auzou gratte la plume, Niala brosse les toiles comme si l’un faisait l’autre parchemin.La voie est ouverte, pour l’un comme pour l’autre.L’événement marque un mouvement ascendant.Ils le nommeront L’Époque 2018.
Ni pardon, ni talion : la question de l'impunité dans les crimes contre l'humanité
Une analyse critique de la justice en matière de crime contre l'humanité. Selon l'auteur, à la fois nécessaires et insuffisantes, les institutions judiciaires ne peuvent être que le point de départ d'une lutte plus vaste contre la barbarie universelle, fondée sur un consensus sur le droit de l'être humain, une éducation…
Après la guerre, Ange, le gardien de phare que tout le monde appelle Gueule cassée, guette depuis sa tour de pierre le retour de…
Recueil de petits contes mettant en scène une galerie de personnages tels que : madame Dumonceau,…