Il pleut froid sur les fenêtres de cette petite imprimerie de Tourcoing. Bernard Watrelos, jeune ouvrier sans passé ni avenir, s’invente une raison de vivre en feuilletant des livres qui parlent d’ailleurs. Une nuit de décembre, il se trouve plongé dans le monde de ceux qui s’en vont « pour de vrai ». Et il comprend que sa vie ne tient plus qu’à un départ.
Les yeux débordant de rêves, Bernard va équiper sa petite voiture pour tenter de rallier Tamanrasset, au coeur du Sahara. Il confie son projet à son seul ami, Louis, le magasinier de l’atelier, à qui il promet d’écrire régulièrement dès son arrivée à Ghardaïa, la porte du désert.
Louis, personnage gargantuesque, grand coeur, grande gueule et gros ventre, ne vit plus que dans l’attente des lettres du « petit », qui est devenu sa toute dernière famille.
Il reçoit la première lettre.
Pas la deuxième …
Auteur de Le touareg blanc
Nous avions préféré les peupliers. Construits de mâts vivants, chantant dans…
Charlemagne et les 4 Fils Aymon
Alard, Renaud, Guichard et Richardet, tous les quatre fils du duc Aymon, se sont révoltés contre Charlemagne. Pendant plusieurs années, une traque opérée par les guerriers du roi mène les fils Aymon de l'Ardenne à la Gascogne où sièges et embuscades, fuites et poursuites, se succèdent à un rythme palpitant. Finalement, las de ces combats, les quatre frères se réconcilient avec Charlemagne. Mais n'allez pas croire qu'ils ont tenu tête au roi uniquement grâce à leur vaillance. Leur cousin, Maugis l'enchanteur, Bayard, un cheval-fée capable d'accomplir des sauts prodigieux, et Flamberge, une épée magique, leur seront de précieux auxiliaires.Une des plus belles épopées de France, digne des meilleurs romans arthuriens, racontée par Jean-Luc Duvivier de Fortemps, écrivain de la forêt d'Ardenne, et magnifiquement illustrée par le photographe paysagiste Benjamin Stassen.…
"Un beau livre, sobre, vif, qui rend tangibles les saisons et les heures. Les illustrations d’Anne Leloup devancent ou suivent le poème avec la force sereine des empreintes." Critique de Françoise Lison dans Le courrier de l’Escaut paru en octobre 1999. Extrait : "A force de se chercher de se trouver de se perdre de rouvrir le sentier des rencontres de déplorer les malentendus les impasses de célébrer les retrouvailles ils déboucheront dans la clarté sans fin" [Source : Le site des éditions…