Le Roi Krog conte l’histoire d’un souverain qui, naguère, était très riche mais n’avait que son or à distribuer pour s’attirer la sympathie et se garantir la loyauté de ses sujets. Jusqu’au jour où, voulant lever un impôt, le Sou du Roi, pour renflouer ses caisses, Krog au Bon Coeur ainsi que le nommaient les hypocrites se fait piéger par plus malin que lui et se retrouve… sans le sou ou presque. Et sujet de moquerie pour ses anciens sujets, qui tous ont effacé d’un coup de lime son royal…
Auteur de Le Roi Krog
Né en 1951 à Uccle mais originaire de Binche en Hainaut, la cité des Gilles (il a lui-même été Gille durant plus de 30 ans), Jacques Degueldre a fait ses études primaires et gréco-latines au Collège de Binche, jusqu'à la rhétorique qu'il a terminée à 17 ans, avec un prix d'orthographe: ça peut toujours servir si on aime écrire. Et si on entre, sur concours, à la célèbre Ecole Supérieure de Journalisme de Lille, foyer de sédition évident juste après mai 68. Trois années terminées avec un mémoire prémonitoire sur "L'événement-guerre" (il y décrit 20 ans à l'avance la médiatisation de la guerre du Golfe), plus une année de transition au Centre des techniques de diffusion de l'Université de Louvain, et il se lance dans le métier de journaliste. Jusqu'en 78 où la création publicitaire le séduit. Un an plus tard, il est directeur de création de la future Publicis, fonde avec d'autres le Creative Club de Belgique. Puis lance en 83 'Faire l'Evénement' et la communication événementielle. Depuis lors consultant en communication stratégique, politique et institutionnelle notamment , il est l'auteur de poèmes, contes, nouvelles -qu'il illustre parfois-, d'une série documentaire sur la communication intime avec Jacques Salomé. Féru d'escalade et d'investigation, prépare une enquête sur la mort d'Albert Ier.
Depuis ce jour, j'ai été adoptée par les familles de Papa et Maman. Pourtant, je suis heureuse. Depuis que ses parents sont décédés, Colette, sept ans, habite chez Tante Jane et Oncle Jean, qui la considèrent comme leur quatrième fille. Le jeudi, elle rend visite à sa soeur, qui réside chez Tante Antoinette, et, la fin de semaine, les deux fillettes retrouvent leur frère chez leurs grands-parents. Malgré quelques vagues de nostalgie et les visites au cimetière, elle vit heureuse en rêvant aux enfants qu'elle-même aura un jour. Un album abordant avec infiniment de sérénité et de simplicité la question du deuil des parents et de l'adoption par la famille. Des croquis rehaussés de lavis aux teintes chaudes ajoutent à la douceur…
La situation des réfugiés du Camp Sud n'est guère brillante. Forcés de fuir une Europe dévastée…