Matsombo, prétendument attaché culturel en Europe, relate à un médecin qu’il a connu au Congo sa vie marquée par la soif de vengeance et par un flot ininterrompu de meurtres, de destructions et de débordements. Pas d’analyse sociologique dans ce récit, mais la description terrible du désespoir et de la genèse de la haine.
Nous avions préféré les peupliers. Construits de mâts vivants, chantant dans…