L’auteur, historienne de l’art, se penche sur la Tapisserie de Bayeux et nous révèle ses structures internes, sa face cachée, de manière à voir et comprendre cette composition textile brodée au XIe siècle longue de 70 mètres. Séquences par séquences, elle offre une lecture inédite et celtisante de cette «histoire» qui se déroule sur une période symbolique d’un an et se divise selon les douze signes du zodiaque.…
Auteur de Le cycle d’Harold. Chevalier de la Table Ronde et Guerrier Impie
123 choses urgentes à connaître sur le climat
Il y a beaucoup de choses à connaître d'URGENCE sur le climat et l'environnement. Combien ? Au moins 123 ! Après avoir lu ce livre, tu pourras affirmer tout savoir sur le monde qui nous entoure et ce que nous devons faire pour qu'il reste habitable. Tu sauras entre autres : Que les requins jouent un…
Aspects inconnus et méconnus de la contrefaçon en Belgique
À propos du livre La contrefaçon belge des livres à l'époque romantique est quasiment inconnue. Née au lendemain de la séparation de la Belgique d'avec la France et de son rattachement à la Hollande, poursuivie après l'indépendance belge conquise à la suite de la révolution de 1830, cette industrie colossale, parfaitement licite en raison des législations nationales et internationales d'alors, eut à son actif, sans que leurs auteurs ou leurs ayants droit pussent s'y opposer, la reproduction, la traduction, l'adaptation des ouvrages étrangers, principalement français, qu'ils fussent littéraires, religieux, scientifiques, artistiques, politiques, historiques, militaires, musicaux, ou qu'ils traitassent de cuisine, de jeux de société, de typographie, d'archéologie, etc. Ce sont toutes les facettes de la «contrefaçon» belge que recense ce livre, divisé en une introduction, vingt chapitres abondamment illustrés de catalogues et de textes publicitaires d'époque, et trois annexes. Compte tenu de l'importance capitale du sujet, cet ouvrage interpellera tant le monde de la librairie que celui des bibliophiles, des bibliographes, des philologues, des économistes, des juristes, des scientifiques, des sociologues, des chercheurs, enfin : de tous ceux qui, de près ou de loin, érudits ou néophytes, s'intéressent au romantisme et à la Belgique de 1814 à 1855, lorsque ses éditions, souvent très soignées et vendues à des prix défiant toute concurrence, étaient répandues dans le monde entier et y propageaient les langues étrangères, au premier rang desquelles figure le français. L'auteur étudie depuis 1973 cet inépuisable et passionnant sujet, auquel il a déjà consacré dans le Bulletin de l'Académie royale de langue et de littérature françaises trois études. Son livre, le premier à traiter de façon globale de la contrefaçon belge, est la somme de ces années…