Le cul et l´écu ou la petite histoire de la prostitution (tome 1)

À PROPOS DES AUTEURS
Stibane (Luc Van Linthout)

Auteur de Le cul et l´écu ou la petite histoire de la prostitution (tome 1)

Quand j’écris moi-même, j’aime traiter de thèmes délicats comme la guerre, les réfugiés, la différence ou des lignes de vie comme la découverte, les premiers amours… Ma technique est le monotype et l’acrylique ou/et la gouache. Je réalise actuellement des albums dont les dessins sont créés par informatique. Cette technique permet une approche différente grâce à une simplification du dessin ce qui donne un autre rapport texte image. Lauréat d’une Bourse de la Fédération Wallonie-Bruxelles - Aide à la création, 2007 et 2015 Lauréat d’une Bourse de la Fédération Wallonie-Bruxelles - Aide au projet, 2011 Lauréat d’une Bourse de la Fédération Wallonie-Bruxelles - Aide au projet en langues régionales, 2013
Didgé (Didier Chardez)

Illustrateur de Le cul et l´écu ou la petite histoire de la prostitution (tome 1)

Didgé (Didier Chardez) a longtemps été auteur de BD humoristiques. Sa carrière professionnelle a commencé dans les années 70, dans Tintin et Spirou. Il a signé Caméra Café chez Jungle. Dans un tout autre style, il a dessiné pour Casterman, un récit réaliste : « La Malédiction d'Edgar » adaptation du roman de Marc Dugain lui-même auteur du scénario. Trois albums. Chez Coccinelle Éditions, il a dessiné en collaboration avec Francis Carin « Antoine-Frédéric Ozanam. L'Ère Nouvelle » et « À travers les Montagnes. La vie de saint Josémaria », sous le pseudonyme de E. Gabriel. Il a écrit le scénario et dessiné « Joseph André Audace et don de soi » et « Durbuy La plus petite ville du monde ».

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Nos terres sombres

Située à Vielsalm, au coeur des Ardennes belges, La «S» Grand Atelier propose une série d'ateliers de création pour des artistes mentalement déficients et fonctionne comme un laboratoire.Depuis 2007, La «S» met l'accent sur une approche narrative de l'image et la rencontre entre le Frémok et La «S» a débouché sur un ouvrage collectif qui va donner son nom à l'ensemble du projet : «Match de catch à Vielsalml». Le projet se poursuit depuis avec une nouvelle série de récits créés en binôme. Paz Boïra a été accueillie en résidence entre 2009 et 2010. Nos terres sombres constitue le troisième round de ce match de catch.Certaines rencontres sans bruits. En choisissant de travailler avec Rémy Pierlot, Paz Boïra se rend rapidement compte qu'héritier d'une éducation irréprochable, il cache ses réflexions derrière des formules de bienséance et se protège en s'entourant de phrases toutes faites, adaptées à toutes les situations. Il s'avère nécessaire de trouver un terrain de dialogue autre que la parole. Rémy nourrit une fascination et une curiosité insatiable pour la nature, (qu'il a déjà dessinée avec Vincent Fortemps quelques temps auparavant dans Match de catch à Vielsalm), et montre à la dessinatrice les photos qu'il prend lors de ses promenades au bord des routes. La nature est une thématique chère à Paz Boïra, le sujet de son prochain livre, et ce terrain familier devient dès lors le lieu de rendez-vous des deux artistes. Les animaux, premiers habitants de ce territoire sauvage, commencent à peupler l'atelier silencieux et éloigné qu'ont choisi d'occuper Paz et Rémy pour travailler calmement. Face à face, leurs tables à dessin se remplissent de monotypes où apparaissent de grands ours, que Rémy dessine d'après photo. « Je trouve que dans sa façon de les dessiner il y a quelque chose de beaucoup plus proche de ce qu'est l'animalité (...) et ses animaux ont une présence bien plus vivante que quand je les fais moi ». Les échanges de dessins et le passage d'une main à l'autre permettent peu à peu à Paz Boïra de cerner ce dont elle va pouvoir se saisir pour armer leur récit. Elle perçoit, dans le charme que produit l'évocation des animaux chez Rémy, un lien très fort de ce dernier avec l'animalité et l'inconscient, une proximité qu'elle lutte pour retrouver dans son propre travail. Et c'est autour de cette perception instinctive qu'elle choisit d'articuler leurs travaux. Dans les sous-bois, où de splendidesoiseaux et mammifères se dressent entre de lumineuses clairières et les feuillages densifiés par le monotype, un homme et un ours arrivent à l'entrée d'un souterrain aux mille ramifications, une constellation de terriers. On devine que c'est…

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