N’avez-vous jamais eu cette sensation de vous perdre dans une relation, un travail, une vie qui ne vous ressemble pas ? ??C’est ce que Clémence a ressenti lorsqu’elle comprit que Laurent se souciait peu de ses sentiments.?Elle décide alors de retrouver et partir à la rencontre de celle qu’elle a perdu depuis des années : Elle.
À ce moment précis, Clémence ne peut encore imaginer que pour la liberté d’une jeune femme, elle sera prête à déplacer des montagnes.
Le Cri du Yéti est un concentré d’émotions et de prise de conscience en nos propres capacités.
Il nous pousse à nous dépasser et à ouvrir les yeux sur ce qui nous entoure.
Un parcours initiatique émouvant qui mêle une trame philosophique aux ressorts du roman policier.
Autrice de Le cri du yéti
Victor Hugo : Les années d'exil et d'écriture à Bruxelles (L'Article n°4)
Collection "L'Article", n°4 Éditorial de Maxime Lamiroy : La Belgique est une terre d'exil, où vit le peuple d’Oubli. L'article de Marc Meganck ne nous remémore pas les instants passés de Victor Hugo à Bruxelles, il nous les conte et nous les entendons pour la première fois. Ces noms de rues familières du centre, animées autrefois d'êtres médiévaux et de sentiments révolutionnaires, la vindicte populaire belge, les banquets aristocratiques de l'impasse du Parc, et l'architecture éblouissante de Sainte-Gudule, de la Grand-Place ou des Galeries royales Saint-Hubert que nous ne pourrons jamais apprécier avec les yeux enchantés du premier touriste, toutes ces choses nous entourent et sont une partie de nous. Il est grand temps d'enlever le voile centenaire d'incuriosité dont nous avons recouvert notre tête et notre pays.La Belgique est une terre d'exil, où vit le peuple d’Oubli. L'article de Marc Meganck ne nous remémore pas les instants passés de Victor Hugo à Bruxelles, il nous les conte et nous les entendons pour la première fois. Ces noms de rues familières du centre, animées autrefois d'êtres médiévaux et de sentiments révolutionnaires, la vindicte populaire belge, les banquets aristocratiques de l'impasse du Parc, et l'architecture éblouissante de Sainte-Gudule, de la Grand-Place ou des Galeries royales Saint-Hubert que nous ne pourrons jamais apprécier avec les yeux enchantés du premier touriste, toutes ces choses nous entourent et sont une partie de nous. Il est grand temps d'enlever le voile centenaire d'incuriosité dont nous avons recouvert…