Offrir son corps – post mortem – à la Science est une intention louable et peu risquée.
Offrir son corps à l’Art, de son vivant, est autrement périlleux…
Jusqu’où un artiste tel que Joseph Khath est-il prêt à payer de sa personne pour satisfaire son besoin de reconnaissance et de pérennité ?
Jusqu’où plaire – ou déplaire – pour enfoncer un clou rouillé dans la passivité des gens, être aimé et laisser une trace ?
Orson Welles prétendait que « l’art est un mensonge qui nous fait comprendre la vérité ».
Assurément, la vérité qu’anticipe Joseph n’est pas de nature à susciter une forte émulation ! Quoique…
Auteur de Le bras célibataire
Au téléphone, Alain Dubois m’assure qu’il n’a malheureusement pas l’intention de poursuivre cette…
Sous le prétexte de conter la vie douce et pieuse d'un groupe de parents et d'amis, l'auteur…