« La mort de ma mère ne me délivrait pas d’elle. Pour sortir du labyrinthe où elle m’avait enfermé, que me fallait-il… un autre regard ? un confesseur ? un juge ? ou un élagueur ? C’est par cette association d’images qu’est remontée en moi une résolution qui m’avait parfois effleuré. J’irais voir, me suis-je dit, l’un de ces jardiniers prompts à tracer des allées royales dans les souvenirs, habiles à disposer les passions en espalier et les angoisses en quinconces, l’un de ces paysagistes…
Un conte de Noël dans la tradition de Dickens. C'est l'hiver, il neige, et le pauvre loup a faim. Alors il croque, croque tout…
(*)qu'importent nos motsils roulent pêle-mêledans le grondement des lamesvenues…