Largo Winch (tome 9) : Voir Venise...


RÉSUMÉ

Dimanche 13 septembre, trois heures du matin…
Dans une ruelle de Venise, un homme court à perdre haleine. À ses basques, trois malfrats armés jusqu’aux dents. L’homme réussit à échapper à ses poursuivants. Juste le temps de briser la vitrine d’une agence de voyages. Juste le temps de gribouiller quelques mots sur une feuille de papier et d’engager la feuille dans un fax. Deux secondes plus tard, l’homme meurt, criblé de balles. Mais le fax est bel et bien envoyé. Il y est écrit : « Largo Winch, prenez garde au doge et à… ». Le bal peut commencer.


À PROPOS DE L'AUTEUR
Jean Van Hamme
Auteur de Largo Winch (tome 9) : Voir Venise...
Scénariste né en 1939, il a longtemps collaboré sur l'hebdomadaire Tintin.
Thorgal, Les Maîtres de l'Orge, Largo Winch et XIII sont parmi ses créations les plus populaires.
Philippe Francq
Illustrateur de Largo Winch (tome 9) : Voir Venise...
Philippe Francq est né à Etterbeek le 13 décembre 1961. Après une scolarité sans histoire, il décide de terminer ses humanités dans une section artistique et il rentre à Saint-Luc en septembre 1978. C'est là que, réellement, on va lui apprendre à tenir un crayon et à remplir une feuille. En 1981, il rempile pour trois ans dans la section bande dessinée, dirigée à l'époque par Claude Renard. Au problème du dessin s'ajoute désormais celui, plus sérieux, du scénario. À 23 ans, il sort de Saint-Luc bardé de diplômes et se met à la fois recherche d'un éditeur et d'inspiration. Il travaille successivement avec Gabrielle Borille, scénariste avec laquelle il réalise les dix premières planches d'une histoire qui n'aboutira pas, et avec Bob de Moor, au Studio Hergé. Bob de Groot lui propose de travailler avec lui sur une série qui s'appellera "Des villes et des femmes" : ils aligneront deux albums pour Dargaud. Chez le même éditeur, Francq publie ensuite deux tomes de "Léo Tomasini" sur scénario de Francis Delvaux . Sa rencontre avec Jean Van Hamme en 1988 va changer son destin. L'écrivain et scénariste lui propose d'illustrer les adaptations qu'il envisage de tirer d'une série de six romans avec lesquels il avait connu un succès d'estime au Mercure de France, en ses débuts. "Largo Winch" constitue un cycle de thrillers modernes, souvent exotiques et toujours mêlés au milieu de la haute finance. Une oeuvre initialement très en avance sur son temps et assez médiocrement diffusée. Le dessin précis et efficace de Francq va la placer parmi les best-sellers absolus de la BD. Lancé dans la collection "Repérages", le premier tome dépassera les 50 000 exemplaires vendus à sa mise en place, le dixième avoisinera les 500 000 ! En parallèle, les romans sont réédités sous diverses formes, tandis qu'une grande série télévisée de 39 épisodes est diffusée à travers le monde. Philippe Francq et Jean Van Hamme se sont vus décerner le Sanglier 2007 du meilleur album adulte (un des Prix Uderzo) pour Les trois yeux des gardiens du Tao, le 15e album de leur série Largo Winch. Texte © Dupuis

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Klimt

Vienne, 1907. Le peintre Gustav Klimt rend visite aux époux Bloch-Bauer. Ferdinand demande alors à Gustav de réaliser le portrait de sa femme, Adèle ; requête entraînant un flashback. Six ans auparavant, alors que Klimt essuyait des critiques acerbes au sujet de son œuvre La Médecine , il a rencontré ce couple, admirateur de son génie et dont la femme l’a prié de lui ouvrir les portes de son atelier. Au même moment, l’artiste recevait en rêve l’inspiration pour son prochain tableau. C’est par ce prisme que l’on entre dans l’univers de l’artiste : son atelier, ses modèles, sa mère, sa compagne, Émilie, mais aussi ses rêves, ses angoisses, ses sources d’inspiration en somme. L’histoire narrée en bande dessinée par Cornette et Marc-Renier est une tranche de vie, prétexte à l’évocation du peintre, de son style, de son époque et de l’avant-gardisme dont il y faisait preuve. L’idée est en effet plus de mettre en avant ses particularités que de réaliser sa biographie. Le récit est assez simple et aurait peu d’intérêt sans l’aspect « inspiré de faits réels », mais n’en est pas moins cohérent et bien rythmé.Les dessins sont soigneusement détaillés. Le rendu est classique, avec un crayonné assez fort accentuant les sujets principaux. Les travaux de Klimt évoqués sont réinterprétés plutôt que cités et le résultat est réussi et efficace : le redesign des œuvres permet une intégration fluide dans les cases tout en invitant à les découvrir sous un angle neuf.Le récit principal est suivi d’un court cahier didactique sur Gustav Klimt. Il complète la bande dessinée en développant quelques sujets qu’elle évoque. On y voit notamment des reproductions des œuvres évoquées dans l’album. Ainsi, le lecteur a à portée de main de quoi satisfaire sa curiosité, titillée par l’histoire racontée en images et phylactères.La bande dessinée Klimt est une introduction sympathique à l’œuvre de l’artiste. Les connaisseurs n’apprendront probablement pas grand-chose, là où les néophytes apprécieront l’accessibilité du propos et les informations proposées en fin d’ouvrage. Les visuels soignés plairont aux amateurs de bande dessinée traditionnelle, alors que l’histoire…