« Cela commence comme un jeu, un défi : s’écrire cent lettres autour de l’amour et de l’écriture. (…)
Dix mois de correspondance (février-novembre 1999) entre la réalité et la fiction, l’insulte et la louange, la séduction et le rejet, la rencontre et la non-rencontre. »
(Quatrième de couverture.)
Auteur de L'amour est le plus beau des dialogues de sourds
Linda Lewkowicz est Belge d'origine polonaise. Elle travaille, depuis 2010, dans le secteur social et artistique. Pas dans le "socio-culturel". Elle pratique deux métiers qui se complètent et nourrissent son travail d’écriture. L’un à La Bellone, maison du spectacle ; l’autre à L’Entraide des Marolles, maison médicale ; le dernier à Anderlecht, chambre d'écriture... quand le calme revient.
Un roman sur la mort ? Absolument pas ! Plutôt optimiste. Et si la mort ne ressemblait…
Victor Hugo : Les années d'exil et d'écriture à Bruxelles (L'Article n°4)
Collection "L'Article", n°4 Éditorial de Maxime Lamiroy : La Belgique est une terre d'exil, où vit le peuple d’Oubli. L'article de Marc Meganck ne nous remémore pas les instants passés de Victor Hugo à Bruxelles, il nous les conte et nous les entendons pour la première fois. Ces noms de rues familières du centre, animées autrefois d'êtres médiévaux et de sentiments révolutionnaires, la vindicte populaire belge, les banquets aristocratiques de l'impasse du Parc, et l'architecture éblouissante de Sainte-Gudule, de la Grand-Place ou des Galeries royales Saint-Hubert que nous ne pourrons jamais apprécier avec les yeux enchantés du premier touriste, toutes ces choses nous entourent et sont une partie de nous. Il est grand temps d'enlever le voile centenaire d'incuriosité dont nous avons recouvert notre tête et notre pays.La Belgique est une terre d'exil, où vit le peuple d’Oubli. L'article de Marc Meganck ne nous remémore pas les instants passés de Victor Hugo à Bruxelles, il nous les conte et nous les entendons pour la première fois. Ces noms de rues familières du centre, animées autrefois d'êtres médiévaux et de sentiments révolutionnaires, la vindicte populaire belge, les banquets aristocratiques de l'impasse du Parc, et l'architecture éblouissante de Sainte-Gudule, de la Grand-Place ou des Galeries royales Saint-Hubert que nous ne pourrons jamais apprécier avec les yeux enchantés du premier touriste, toutes ces choses nous entourent et sont une partie de nous. Il est grand temps d'enlever le voile centenaire d'incuriosité dont nous avons recouvert…