Gilles a pris sa pension. Sans s’en rendre compte il a abandonné toute vie sociale, active, même intéressante. Il a déménagé à la campagne. Peu à peu une sensation de vide, d’irréel, l’envahit. Un léger infarctus l’envoie à l’hôpital. Il s’y ennuie. A son retour il questionne, non seulement son état physique, mais aussi le moral. Son chien se fait tuer par un molosse. Il se néglige, se trouvant pris dans une spirale sans nom et dépeuplée. Il pense beaucoup à son état, mais ne le comprend pas.
Un jour on sonne à la porte. C’est la fin de sa solitude.
Auteur de La solitude
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