Le désir vagabond bute au coin des tortures. En attendant la houle et les villégiatures. C’est comme une embardée sur le rebord des choses. Dans le pivot des choses. Claires, denses, et des accablements. Pour autant de sutures. Comme un couteau fêlé dans le sens de nos larmes. Que l’on brise en sommant la douleur de gémir. Dans nos veines, et nos mises. Nos capitulations. Devant cet exercice de tout rafistoler. Le résidu des heurts. Des chocs. Le heurtement des choses contre le temps des joutes. Nous ne savons que faire. Lorsqu’un ligot sévit. Quand tout se damne au cœur de nos comportements. C’est un leurre. Un symbole. C’est une démission. Pour toute litanie nous avons les vertiges. À propos des querelles du temps qui avachit. Au sujet de nos haines, petites et méconnues. Aves des peaux dorées et des chairs qui vacillent. Comment ? Ne sommes-nous pas sinistres ? Qu’avons-nous fait hier des pénibles fardeaux ? Nous sommes des esclaves des rites et des parures. Des apparences floues l’une et l’autre demain. En amas sabotés, et comme un précipice. Dans l’usure du désir, turgescent de mourir. Rivé.
Auteur de La parodie des ombres
Un conte de Noël dans la tradition de Dickens. C'est l'hiver, il neige, et le pauvre loup a faim. Alors il croque, croque tout…