Aux murs je me blesse, érafle la robe, arrache la rose, à cet écartement m’accroche, à ces murs me mure, fond, fonce dans le mur, cherche partout l’ouverture, la porte, le trou de serrure, la voix, le visage dedans, devant, derrière, cherche la force tendue criblée de lumière, mais seules les pierres couvertes de mousses et de lierres, seule la grotte fermée, la barbarie contre laquelle je me blesse
Auteur de La déferlante
Rien dans cette longue confidence qui ne soit placé sous le signe de l'amour. Il y a d'abord celui…
Ce receuil apparaît comme une sorte de testament poétique. Un espoir l'emporte sur…