Aux murs je me blesse, érafle la robe, arrache la rose, à cet écartement m’accroche, à ces murs me mure, fond, fonce dans le mur, cherche partout l’ouverture, la porte, le trou de serrure, la voix, le visage dedans, devant, derrière, cherche la force tendue criblée de lumière, mais seules les pierres couvertes de mousses et de lierres, seule la grotte fermée, la barbarie contre laquelle je me blesse
Portrait par Carl Norac Préface par Liliane Wouters À propos du livre Dès les premiers…
Le temps nous entraîne. Nous n'avons aucun recours. Pourtant, il nous offre l'avantage…