1914-1918. Dans l’horreur de la boue, la fumée et la poussière des tranchées, des soldats ont pris les armes. Pas question de gloire, ni d’héroïsme dans ces récits, mais d’un témoignage, souvent ironique, de ce que fut la Grande Guerre. Acteur et spectateur, Deauville peint la vie des tranchées au quotidien : le piétinement sourd des colonnes d’infanterie, les éclairs parmi le fracas des obus, le sifflement des balles, l’angoisse qui prend au coeur au moment de…
Après la guerre, Ange, le gardien de phare que tout le monde appelle Gueule cassée, guette depuis sa tour de pierre le retour de…
• Boileau: “Vingt fois sur le métier” (Art poétique) • Ponge: “Une rhétorique par…