La bigaille : Histoire d'une utopie culturelle collective


RÉSUMÉ

Face aux difficultés d’accès à la culture en milieu rural, un groupe de citoyens a créé une association qui donne vie à un projet culturel collectif : La Bigaille, un bar associatif, ouvert à tous et géré par des bénévoles depuis 10 ans. Leur programmation artistique séduisante redynamise la petite ville de campagne et ses environs.
L’expérience, véritable modèle de réussite, montre à quel point l’important n’est pas d’avoir ni d’être, mais de faire ensemble ; elle nous invite à co-construire nos propres projets écologiques ayant du sens dans un monde en mutation.


À PROPOS DE L'AUTEUR
Thibaut Lambert
Auteur et illustrateur de La bigaille : Histoire d'une utopie culturelle collective
 Diplômé de l’institut Saint-Luc de Bruxelles, j’ai participé à l’exposition collective Le 9e Rêve au Centre Belge de la Bande dessinée, ainsi qu’à l’exposition collective Rime en Rouge au centre de la Culture de Saint-Gilles.

J’ai été animateur de stages de bande dessinée, de storyboard et de cinéma d’animation pour des Centres d’expression et de créativité.

Lauréat du prix jeune talent au concours Bande dessinée de la ville de Ganshoren. Sélectionné au concours espoir de la quinzaine de la BD organisé par la ville de Bruxelles.


AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "La bigaille : Histoire d'une utopie culturelle collective"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 9208 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

La nuit des poisons

Après La mort sur le bûcher , qui plantait le décor, ce deuxième volume nous montre la…

Klimt

Vienne, 1907. Le peintre Gustav Klimt rend visite aux époux Bloch-Bauer. Ferdinand demande alors à Gustav de réaliser le portrait de sa femme, Adèle ; requête entraînant un flashback. Six ans auparavant, alors que Klimt essuyait des critiques acerbes au sujet de son œuvre La Médecine , il a rencontré ce couple, admirateur de son génie et dont la femme l’a prié de lui ouvrir les portes de son atelier. Au même moment, l’artiste recevait en rêve l’inspiration pour son prochain tableau. C’est par ce prisme que l’on entre dans l’univers de l’artiste : son atelier, ses modèles, sa mère, sa compagne, Émilie, mais aussi ses rêves, ses angoisses, ses sources d’inspiration en somme. L’histoire narrée en bande dessinée par Cornette et Marc-Renier est une tranche de vie, prétexte à l’évocation du peintre, de son style, de son époque et de l’avant-gardisme dont il y faisait preuve. L’idée est en effet plus de mettre en avant ses particularités que de réaliser sa biographie. Le récit est assez simple et aurait peu d’intérêt sans l’aspect « inspiré de faits réels », mais n’en est pas moins cohérent et bien rythmé.Les dessins sont soigneusement détaillés. Le rendu est classique, avec un crayonné assez fort accentuant les sujets principaux. Les travaux de Klimt évoqués sont réinterprétés plutôt que cités et le résultat est réussi et efficace : le redesign des œuvres permet une intégration fluide dans les cases tout en invitant à les découvrir sous un angle neuf.Le récit principal est suivi d’un court cahier didactique sur Gustav Klimt. Il complète la bande dessinée en développant quelques sujets qu’elle évoque. On y voit notamment des reproductions des œuvres évoquées dans l’album. Ainsi, le lecteur a à portée de main de quoi satisfaire sa curiosité, titillée par l’histoire racontée en images et phylactères.La bande dessinée Klimt est une introduction sympathique à l’œuvre de l’artiste. Les connaisseurs n’apprendront probablement pas grand-chose, là où les néophytes apprécieront l’accessibilité du propos et les informations proposées en fin d’ouvrage. Les visuels soignés plairont aux amateurs de bande dessinée traditionnelle, alors que l’histoire…