Harry Dickson, le Sherlock Holmes américain: Le lit du diable; suivi de, On a tué M. Parkinson

RÉSUMÉ

 » Harry Dickson sort en courant du British Museum…
Ses joues sont livides et, sous l’emprise du plus affreux des épouvantements, ses dents claquent, ses membres tremblent, son sang se fige…  »
Oui, cet homme aux traits crispés, aux yeux hagards, c’est bien lui !
Le grand, l’invincible Harry Dickson, prêt à battre en retraite.
Car l’aventure, cette fois, se joue aux limites de l’effroyable.
Dans les Highlands se sont ouvertes les portes de l’enfer.
Les créatures les plus immondes y grouillent. Indestructibles, sanguinaires, immortelles…
Odieuses adoratrices de Baal…
Le monde est menacé, le temps presse.
Et les apparences de la belle Rheina sont trompeuses…
Devant son regard, Harry chancelle.
Le diable a fait son lit.
Couche perfide à l’illusoire beauté,
elle n’attend plus que sa victime…
Pour le plus sanglant des sacrifices…

À PROPOS DE L'AUTEUR
Jean Ray

Auteur de Harry Dickson, le Sherlock Holmes américain: Le lit du diable; suivi de, On a tué M. Parkinson

Jean Ray est le pseudonyme de Raymond De Kremer dont la biographie a été passablement romancée. En fait, sa vie est restée sédentaire et surtout animée par une abondante production d'écrivain populaire, rédigée sous divers pseudonymes: scénarios de bandes dessinées, histoires pour enfants, nouvelles policières, etc. L'auteur est surtout connu pour son ironique contribution au genre fantastique noir. Elle comprend en particulier des contes (Les Contes du whisky, 1925 ; Le Grand Nocturne, 1942 ; La Cité de l'indicible peur, 1943), mais on lui doit aussi un remarquable roman où fantastique et mythologie classique font bon ménage : Malpertuis (1943).

AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Harry Dickson, le Sherlock Holmes américain: Le lit du diable; suivi de, On a tué M. Parkinson"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Chant de feu

"Un beau livre, sobre, vif, qui rend tangibles les saisons et les heures. Les illustrations d’Anne Leloup devancent ou suivent le poème avec la force sereine des empreintes." Critique de Françoise Lison dans Le courrier de l’Escaut paru en octobre 1999. Extrait : "A force de se chercher de se trouver de se perdre de rouvrir le sentier des rencontres de déplorer les malentendus les impasses de célébrer les retrouvailles ils déboucheront dans la clarté sans fin" [Source : Le site des éditions…