Le Hard Rock Market fut une plaque tournante de l’énergie du rock et des cultures alternatives. Après la boutique Anik ouverte en 1975 rue des Éperonniers, Anik De Prins fonde en 1991, dans la même rue, le temple du hard rock, le Hard Rock Market, qui ferma ses portes en 2018. Cet abécédaire rend hommage à ces deux lieux où passèrent nombre de musiciens amis d’Anik, Dio, Doro, Neil Turbin, Aerosmith, Johnny Halliday, Nicoletta, Dream Theater, Duran Duran, Amon Amarth, Drakkar, Channel Zero… Passionnée de rock, Anik a rencontré Deep Purple, Motörhead, Iron Maiden, Fish, Biff Byfford, Cradle of Filth, Doug Aldrich, Glenn Hughes…
Bienvenue dans la culture metal au travers de textes et de photos.
Deux préfaces en ouverture : celle de Doro, la metal Queen et celle de Philippe Close, Bourgmestre de la Ville de Bruxelles et fan de metal.
Autrice de Hard Rock Market
Ce livre est un plaisir. Une ode. Un chant d’amour pour une époque. Pour une boutique. Pour une femme engagée et généreuse. Anik De Prins. Amie des plus grands métalleux que ce monde a porté jusqu’ici. Un long péan pour un état d’esprit. Une façon d’être. De vivre généreusement, intensément ses rêves. C’est qu’Anik De Prins est une sacrée bonne femme. Au cœur grand comme ça. Ouvrant en 1975, rue des Éperonniers, en plein cœur historique et touristique de Bruxelles, la Boutique Anik, un magasin hippie, légendaire, où l’on trouvait des fringues, des objets singuliers, ramenés d’Amérique, des pays latinos, par Anik, la prêtresse des lieux. Ouvrant ensuite, en 1991, rue des Éperonniers encore, un peu plus loin, le Hard Rock Market, un lieu…
Lamartine critique de Chateaubriand dans le Cours familier de littérature
À propos du livre (4e de couverture) Les historiens contemporains des lettres françaises de Belgique tiennent avec raison que La Légende d'Ulenspiegel en est le livre fondateur. Toute fondée qu'elle soit, cette assertion a tardé à prendre forte d'évidence. Lorsque Charles De Coster fait paraître sont livre, en 1867, seuls quelques lecteurs perspicaces y prêtent attention sans parvenir à lui assurer une quelconque reconnaissance. Et c'est aussi pauvre qu'inconnu que l'écrivain meurt en 1879. Il est vrai que «La Jeune Belgique», quinze ans plus tard, reconnaît son rôle, mais le statut de son livre n'en est en rien changé : il a peu de lecteurs, il n'est pas pris au sérieux. Tel n'est pas le cas du jeune Joseph Hanse dont l'Académie royale de langue et de littérature françaises s'empresse, dès 1928, de publier la thèse de doctorat consacrée à Charles De Coster et dont Raymond Trousson écrit aujourd'hui dans sa préface : «Ce coup d'essai était un coup de maître. Soixante-deux ans après sa publication, ce livre demeure fondamental, indispensable à quiconque entreprend d'aborder l'uvre magistrale qu'il mettait en pleine lumière.» Devenu introuvable, enfin réédité aujourd'hui, le Charles De Coster de Joseph Hanse, qui a ouvert la voie à toutes les études ultérieures et internationales sur le sujet, fera figure, pour beaucoup, d'une découverte et d'une…
Un essai sur le sentiment amoureux. L'auteur s'intéresse à la passion, à la frontière entre l'amour et la…