Devoir de vacances



À PROPOS DE L'AUTRICE
Vera Feyder
Autrice de Devoir de vacances
Poète, romancière, auteur dramatique et comédienne, Vera Feyder est née à Liège, d'un père Juif polonais (mort en déportation) et d'une mère liégeoise, d'origine slave. Vit à Paris. Depuis son premier recueil "Le temps démuni" (Prix «Découverte», 1961), sa première nouvelle, "Un jaspe pour Liza" publiée par Simone de Beauvoir («Les temps Modernes», 1965), son premier roman "La derelitta" (Stock, Prix Rossel 1977, qui deviendra un film en 1983), à sa première pièce "Emballage perdu" (lue au Gueuloir, en Avignon en 1975, et créée à Paris en 1982 au Théâtre des Mathurins), et jusqu'à son dernier roman "La belle voyageuse endormie dans la brousse" (Le Grand Miroir, 2003), elle n'a cessé d'écrire et de publier, conjointement, des romans et des nouvelles (Stock - Labor - Ancrage - Le Grand Miroir), des poèmes (Rougerie - Ubacs - Hôtel Continental), des pièces de théâtre (Actes Sud/Papiers - Lansman - Quatre Vents - L'Harmattan). Elle a été honorée de nombreux prix dont : - Prix François Villon pour "Pays l'absence" (poèmes, 1970) - Académie Française pour "Passionnaire" (poèmes 1975) - Prix Rossel pour "La derelitta" (roman,1977) - Prix SACD (Belgique) pour l'adaptation et la réalisation de sa nouvelle "Un jaspe pour Liza" (RTBF 1989) - Prix SACD Radio pour l'ensemble de son œuvre (Paris, 1985) - Prix d'automne de la Société des Gens de Lettres pour son recueil anthologique "Le fond de l'être est froid" (poèmes, Rougerie, 1995) - Prix Louis Praga de l'Académie de Langue et Littérature françaises de Belgique pour sa pièce "Piano seul" (Paris, 1996) - Prix Littérature Amnesty 2003 pour "La Bouche de l'ogre". Elle a écrit une quarantaine de fictions dramatiques originales pour France Culture, ainsi qu'un feuilleton: "Balzac ou le comédien humain", et des adaptations de Barbey d'Aurevilly : "Une vieIlle maîtresse", Romain Gary : "Lady L" et Joseph Conrad : "Victory". Elle a également produit des émissions littéraires et poétiques pour France Culture (Louise Labé, Emily Dickinson, Malcolm Lowry) ainsi que des entretiens «Le Bon Plaisir» et «A voix nue», avec, entre autres: Henri Cartier-Bresson, Bernard Clavel, Robert Enrico, Georges Kiejman, Robert Hossein, Antoine Blondin, Artur London, Vladimir Jankélévitch, Julien Gracq. Elle a été présidente de la Commission Radio de la SACD (Paris) de 1999 à 2002. DES ŒUVRES QUE JE SOUHAITE FAIRE CONNAÎTRE Choix impossible: dans la vingtaine (déjà réduite) d'œuvres majeures, et qui ont compté en quarante ans de lecture et d'écriture conjointes, il s'avère impossible d'en désigner deux, sans faire injure aux autres, qui, par cet arbitraire, se voient relégués au rang de « deuxième choix ». 4 LIVRES DE MA BIBLIOGRAPHIE La Belle voyageuse endormie dans la brousse [roman] Derniers télégrammes de la nuit [théâtre] La Bouche de l'ogre [nouvelle] Le Fond de l'être est froid [poèmes, recueil anthologique]

AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Devoir de vacances"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 9212 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Je ne sais quoi d’heureux

Émile Lansman étant connu comme « éditeur de théâtre », il est normal que tous les titres proposés par la Maison qui porte son nom soient classés automatiquement dans ce genre éditorial. Et pourtant, lorsqu’il s’agit de la collection Lansman Poche, l’hésitation est souvent de mise : ces livres sont-ils vraiment des textes de théâtre ? Ne seraient-ils pas plutôt des récits, des contes, voire de courts romans ? C’est encore le cas ici pour les trois textes courts constituant le dixième opus de Lansman Poche... Je ne sais quoi d’heureux / Catherine Zambon (France) Lansman Éditeur, coll. Lansman Poche 96 p. 2023 . – 12€   ISBN 978-2-8071-0370-2 Émile Lansman étant connu comme « éditeur de théâtre », il est normal que tous les titres proposés par la Maison qui porte son nom soient classés automatiquement dans ce genre éditorial. Et pourtant, lorsqu’il s’agit de la collection Lansman Poche, l’hésitation est souvent de mise : ces livres sont-ils vraiment des textes de théâtre ? Ne seraient-ils pas plutôt des récits, des contes, voire de courts romans ? C’est encore le cas ici pour les trois textes courts constituant le dixième opus de Lansman Poche. Trois nouvelles centrées sur les relations entre les humains et les animaux, préoccupation oh combien contemporaine ! Bien entendu elles peuvent être portées à la scène et se prêtent à une lecture à voix haute. Mais, écrits à la première personne, ces textes ont été conçus – mis en livre comme dit la 4è de couverture – pour accrocher des lecteurs et des lectrices. Chacune de ces nouvelles, prend son départ sur un mode sombre et désenchanté. La première imagine un futur pas très éloigné où tous les animaux auraient disparu. « La seule chose que j’aurais envie d’entendre, c’est le chant d’un oiseau. Mais il n’y en n’a plus » regrette la narratrice. La deuxième donne la parole à un homme meurtri et désabusé qui, brusquement, se prend d’intérêt pour un lézard qui s’est introduit dans la réserve à provisions de la cabane où il s’est réfugié. Enfin, dans la troisième nouvelle, une jeune femme découvre, non loin du mobil home que lui a légué sa mère, une chèvre et un chameau, derniers pensionnaires d’un cirque à la dérive. Mais, surprise, chacune de ces histoires se termine par un je ne…

Théâtre

Portrait par Jean Tordeur Introductions de Heinz Klüppelholz À propos du livre Né à Mons au lendemain de la première…

Le cocu magnifique

Depuis le temps qu’on se marie, il y a des cocus de toute espèce.…