Dans ce recueil au ton mystérieux, un peu sombre, se mêlent, s’entremêlent étroitement l’amour – ses joies, ses inquiétudes – et Angkor, ville « assiégée », qui se perd dans les méandres presque effrayants de la forêt.
Poèmes de Paul Mathieu avec des illustrations de Jean Morette 1. Le train électrique revenu de l'enfance…
« La poésie est comme la philosophie – ou devrait au moins faire comme elle,…