De l’autre côté du lac

À PROPOS DE L'AUTRICE
Anne Brouillard

Autrice de De l’autre côté du lac

Née le 12 juillet 1967 à Louvain

Graduat en arts plastiques - illustration, Saint-Luc, Bruxelles

Mes livres ne sont pas construits à partir d’idées abstraites, mais d’impressions visuelles. Les “histoires” partent d’une image, d’une succession d’images, parfois d’émotions ou de sensations, que j’essaie de concrétiser dans l’espace de l’album. Lauréate d'une Bourse de la Fédération Wallonie-Bruxelles - Aide à la création, 2006 et 2021 Lauréate d'une Bourse de la Fédération Wallonie-Bruxelles - Congé sabbatique, 2014
NOS EXPERTS EN PARLENT...
ricochet

Lucie vit des vacances heureuses chez sa tante Nadège, au bord d’un lac. Elle converse amicalement avec Toka et Alpha, les deux chats. Le temps s’écoule, serein. Un jour, de l’autre côté du lac, une chose bleue brille. Intrigués, tous partent à la découverte de cet objet. L’aventure est au bout du lac,certes ! mais sans oublier le pique-nique... Au retour, un autre mystère attend la…


AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "De l’autre côté du lac"
stdClass Object ( [audiences] => Array ( [0] => 16281 ) [domains] => Array ( [0] => 9534 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Un papa à domicile

Le thème du chômage est rarement abordé dans les albums pour les…

Tout et rien

Un jour, Monsieur Picaillon, l’homme le plus riche de la ville, perdit la clé de son coffre. Ce même jour, Basile-le-fil, l’homme le plus pauvre de la ville, découvrit une chaîne avec une clé au bout... A partir de ce jour-là, leur vie à tous les deux va complètement changer: pour Mr Picaillon,sans clé, plus moyen d’ouvrir le coffre pour avoir de l’argent. Mais pour Basile, qui n’aime qu’entendre Lire la suite Monsieur Picaillon a tout et Basile-le-fil n’a rien. C’est aussi simple que cela et l’histoire joue sur ce binarisme avoir tout / ne rien avoir ; être tout / n’être rien. Dans un univers gris où l’opulence et le manque se ressemblent soit par amas de possessions soit par amas de rebuts, la bascule entre les deux personnages tient à une clef. Une clef d’or ! Comme dans les contes merveilleux, la clef est celle du trésor sous la forme peu poétique d’un coffre-fort. Evidemment, la clef perdue par l’un est retrouvée par l’autre. Le riche appauvri et le pauvre enrichi se retrouvent sur un banc. Monsieur Picaillon récupère sa clef et Basile-le-fil la rend avec soulagement. Dans un livre à l’histoire convenue, le dénouement apporte une originalité. Contrairement à la majorité des contes, il n’y a pas de fin heureuse et les chemins des deux protagonistes se séparent sans modification aucune des comportements ni de l’un ni de l’autre. Basile-le-fil poursuit son chemin, heureux sous son parapluie et Monsieur Picaillon conserve et protège sa maison. En dépit de signe d’adieu empathique de Monsieur Picaillon, seuls les animaux, chat et chien, semblent regretter leur éloignement. Les personnages de la fable, le capitaliste à redingote et haut de forme, le pauvre avec son allure de randonneur scout semblent caricaturaux. La morale quant à elle traduit un état de fait « hélas, tout le monde sait que ceux qui ont tout regardent rarement ceux qui n’ont rien ». Cet album manque d’élan pour engager les enfants à réfléchir et chacun engagé dans sa voie y reste puisque même le hasard n’amène pas de modification. Le message véhiculé contredit les intentions de l’auteure. Danielle Bertrand…

Le sourire du loup

Un ciel rouge. Un paysage de montagne inquiétant. Une forêt noire et blanche. Un loup…