Continental Circus

RÉSUMÉ

Dans les années 60-70, la caravane du  » Continental Circus  » traverse tout le continent européen, emmenant pilotes, familles et mécaniciens dans l’une des plus formidables périodes du championnat du monde moto de vitesse pure. Chaque année, cinq mois durant, pilotes d’usine et pilotes privés écument les circuits avec une seule obsession : gagner ! Dans cet enfer de vitesse, d’huile et de cuir, les exploits se succèdent, mais les erreurs se paient cash ! Et apercevoir le drapeau à damiers prend parfois des allures de miracle…

À PROPOS DE L'AUTEUR
Baudouin Deville

Auteur et illustrateur de Continental Circus

Baudouin Delville est un dessinateur et scénariste de bande dessinée belge. Il débute sa carrière en 1983 avec la série L’Inconnu de la Tamise. Depuis, il a publié de nombreux albums, notamment la trilogie Riders on the storm (scénario de Géro), Léopoldville 60  ou encore Bruxelles 43  (tous deux scénarisés par Patrick Weber).

AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Continental Circus"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 9208 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Le verre à moitié vide

Dans ce faux carnet intime, richement illustré,…

En chemin avec Jan Berchmans

Octobre 1618, les Pays-Bas espagnols : Jean, qui veut devenir jésuite, chemine…

CHAMPS DE BATAILLE

Éric Derkenne a fait du visage le théâtre de ses précises opérations.Jour après jour cerné de lignes ombrageuses, le siège du combat se disloque en de sombres cavités. Les yeux, les oreilles, les narines, la bouche sont autant de gouffres que l'artiste sonde inlassablement et qui emportent celui qui les scrute dans des tourbillons vertigineux. Les têtes prennent corps et dans ce bataillon de figures totémiques, chaque soldat se distingue grâce à une infinité de détails graphiques.Parti d'un bigbang de formes colorées et isolées dans l'espace, Éric Derkenne a mis en place au fil des ans une méthode précise et immuable, un réseau de circonvolutions de cercles et de serpentins qui envahit la feuille blanche, donnant naissance à d'énigmatiques portraits. Tel une « dentellière du stylo à bille », il s'est abîmé avec application dans ce lent ouvrage de tissage, d'entrelacement de lignes, ceignant sa propre image, par maints assauts répétés. À l'identité qui défaille, Éric Derkenne a répondu…