Album qui se déroule avec l’anaphore, la même comparaison répétée en début de phrase : « Comme mon père me l’appris » et qui suit une journée d’un jeune chasseur inuit de son lever (et même de la nuit qui précède ce réveil) jusqu’au moment de harponner un phoque sur la banquise
Auteur et illustrateur de Comme mon père me l’a appris
Sur la page de couverture, un enfant inuit nous prend par la main. A l’intérieur, sur la page de gauche, Rascal a privilégié un texte court – deux ou trois phrases – commençant systématiquement par: « Comme mon père me l’a appris...». Sur la page de droite, des dessins épurés et efficaces, proches de l’art inuit, renforcent la dimension poétique de cet ouvrage plein de sensibilité.
Il…
C’est l’heure du dodo pour les petits lapins ! Petit Lapin réclame à Grand Lapin…
Justin tait sa peur du noir par crainte d'être la cible des moqueries de son entourage. Jusqu'au jour où il se rend compte que son père a peur, lui aussi, quelquefois.Justin tait sa peur du noir par crainte d'être la cible des moqueries de son entourage. Jusqu'au jour où il se rend compte que son père a peur, lui aussi, quelquefois. Philippe Goossens et Thierry Robberecht proposent chez Mijade les aventures d’un nouveau personnage, Justin, un petit loup téméraire. Devant ses amis, Justin n’a peur de rien et se venterait plutôt de ses exploits. Peur de rien, c’est vite dit, car lorsqu’il voit une araignée, il appelle à l’aide. Il sera finalement sauvé par Max, son ami. Et lorsqu’il en discutera avec son père, Justin comprendra qu’on…