Album qui se déroule avec l’anaphore, la même comparaison répétée en début de phrase : « Comme mon père me l’appris » et qui suit une journée d’un jeune chasseur inuit de son lever (et même de la nuit qui précède ce réveil) jusqu’au moment de harponner un phoque sur la banquise
Sur la page de couverture, un enfant inuit nous prend par la main. A l’intérieur, sur la page de gauche, Rascal a privilégié un texte court – deux ou trois phrases – commençant systématiquement par: « Comme mon père me l’a appris...». Sur la page de droite, des dessins épurés et efficaces, proches de l’art inuit, renforcent la dimension poétique de cet ouvrage plein de sensibilité.
Il…
Après Nabil, paru il y a deux ans, Rue du Monde, qui fête cette année ses 10 ans d’existence,…