Le titre renvoie aux « Cinq nô modernes » de Mishima, autrefois montés dans une mise en scène inoubliable par Maurice Béjart. Le parti de Mishima était d’adapter des thèmes du nô classique au théâtre moderne. Celui de René Swennen est d’adapter des thèmes de la littérature occidentale à la forme japonaise: Faust, les Niebelungen, La Traviata, la Rome de la Renaissance, sans oublier Dieu, la femme, la frivolité, la mort… et derrière tout cela le masque comme ultime révélation de soi…
En amour, est-ce que l’on peut partir et revenir, comme une fleur, vingt ans plus tard ?…