Cahiers wallons-Rèlîs Namurwès - 6 - 2017 (80e année) - Novembre - décembre 2017

Sommaire

       Saquants bias bokèts

  • Mèsse di méyenêt à Létin
    Albert Demeuse
  • Quand on vî volcan djômîye todi (1 et 2)
    Pierre Lazard
  • Èvôye po… Mârs´. Dès-anéyes d’apurdice
    Georges Puissant
  • Racine, Les Plaideurs, I, 4, 83-110
    Bernard Louis
  • Li tchanson da Djan Biétrumé Picâr
    Violaine Dewez
  • Marie-Jeanne Goffinet
    Joseph Dewez
  • Po lès deûs cints-ans da Djâque Bèrtrand
    Jean Hamblenne
  • Mèrci, facteûr !
    Anne-Marie François
  • “ Absorption ”
    Christiane Binamé
  • Bèni seûye-t-i li djoû…
    Maurice Dubois
  • Ayîr èt audjoûrdu
    Sint Nicolès d’ viyadje
    Joseph Calozet
  • Nosse lingadje
    Le gadot
    Bernard Louis
  • Compte rendu de lecture
    É. Gilliard, Dèviè l’an carante
    V. George
  • Dêrènès novèles
    Bernard Louis
  • Communiqué
    Prix de la Ville de La Louvière 2018
  • C’èst po rîre
    « Au Lion Rugissant »
    Joseph Selvais


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CHAMPS DE BATAILLE

Éric Derkenne a fait du visage le théâtre de ses précises opérations.Jour après jour cerné de lignes ombrageuses, le siège du combat se disloque en de sombres cavités. Les yeux, les oreilles, les narines, la bouche sont autant de gouffres que l'artiste sonde inlassablement et qui emportent celui qui les scrute dans des tourbillons vertigineux. Les têtes prennent corps et dans ce bataillon de figures totémiques, chaque soldat se distingue grâce à une infinité de détails graphiques.Parti d'un bigbang de formes colorées et isolées dans l'espace, Éric Derkenne a mis en place au fil des ans une méthode précise et immuable, un réseau de circonvolutions de cercles et de serpentins qui envahit la feuille blanche, donnant naissance à d'énigmatiques portraits. Tel une « dentellière du stylo à bille », il s'est abîmé avec application dans ce lent ouvrage de tissage, d'entrelacement de lignes, ceignant sa propre image, par maints assauts répétés. À l'identité qui défaille, Éric Derkenne a répondu…