RÉSUMÉ

La vie extraordinaire de Vauban, le bâtisseur de fortifications bien connu mais aussi le voyageur, l’écrivain, l’homme de terrain et de génie. Un personnage illustre qui revit enfin en BD.

« La vie de Vauban, modèle d’épopée, propose l’inattendu et l’émotion à chaque instant. Ce n’est pas seulement une histoire pour spécialistes, bâtisseurs ou militaires, c’est une vie d’exception (…) Il y a des courses folles, des batailles, des fracas de mers et de montagnes, des ruses, des inventions, des secrets, des projets sidérants pour ne pas dire fous (…) Cet homme d’action et de pensée n’a eu de cesse de perfectionner tout ce qu’il touchait, d’exiger le meilleur, d’ordonner l’impossible. »


À PROPOS DES AUTEURS
Louis-Bernard Koch
Auteur de Avec Vauban
Louis-Bernard Koch, né en 1958 à Liège, est issu d'une famille de musiciens : son grand-père, le violoniste liégeois Henri Koch (1903-1969), son oncle Emmanuel Koch (1930-2005) et son père, Louis Koch (1934-2019).. Il fait des études musicales, historiques, philosophiques et de lettres et devient professeur, diplômé de l'Université de Liège et collaborateur de l'Académie Royale de Belgique. Il écrit de nombreux ouvrages et articles spécialisés et participe à de nombreuses émissions de radio et de télévision. Comme scénariste aux Éditions du Triomphe, il signe des biographies en BD, toujours soucieux de la réalité des faits en historien professionnel: Guy de Larigaudie, Avec Jean-Paul II, Avec Lyautey.....
William Tai (Malik)
Illustrateur de Avec Vauban
À Malik, Malik et demi ! Malik, William Tai de son vrai nom, est né le 2 janvier 1948 à Paris. Petit-fils d'un ministre de Tchang Kaï-Chek, son grand-père était diplomate et Chinois, sa grand-mère Belge. Du coup, le voilà nanti d'une mère eurasienne, née au Mexique, épouse d'un eurasien de père français. Quant à lui, il est né à Paris, il passe les premières années de sa vie en Indochine avant d'émigrer vers la Belgique et vivre son enfance à Bruxelles. Malik, pseudonyme de William Tai. Tai dont l'une des nombreuses traductions signifie paix. Cet homme nommé Paix aurait aimé faire de la boxe en professionnel. Mais il a pensé, le naïf, que le dessin était plus facile. Au vrai, ne dessine-t-il pas un peu comme on monte sur le ring : avec beaucoup de souffle et de muscle ? Il se forme autant dans la tradition culturelle chinoise qu'en lisant les romans d'Alexandre Dumas ou "Moustache et Trottinette" de Calvo. Mais son livre de chevet sera dans sa jeunesse les "Souvenirs entomologiques" de Fabre. Jusqu'à l'âge de 14 ans, chez les Jésuites, à Bruxelles, il apprend à dessiner les saints du calendrier et les gamines de l'école d'à côté... Puis il décroche le record de longévité à l'Académie des Beaux-Arts, où il reste inscrit près de dix ans. Il conçoit ensuite un court récit pour "Tintin", "Minuset", scénarisé par Jean-Marie Brouyère. Puis, il travaille pour "Spirou" dans un registre réaliste, à partir de 1970. Après une collaboration aux "Belles Histoires de l'Oncle Paul", sur un texte de Maurice Rosy, il s'associe de nouveau avec Jean-Marie Brouyère et entreprend un an plus tard la série "Archie Cash" personnage d'action au charactère chaud et bouillant au look de Charles Bronson, et démarre ainsi pour de bon dans le métier (Archie Cash en 1971 dans Spirou 2349 21/4/83). Avec Brouyère et Terence, il conçoit également le dyptique "Blue Bird". Aux éditions des "Archers", il réalise "Johnny Paraguay", scénarisé par Terence de 1983 à 1985, puis "Chiwana", une série partiellement prépubliée dans "Spirou" (deux recueils en 1984 et 1985). À partir de 1989, il adapte "Les Colonnes du ciel" d'après Bernard Clavel, aux éditions "Lefrancq". Malik mène parallèlement une carrière d'illustrateur humoristique. Dès 1977, sur son propre scénario, puis sur un texte de Bom, il dessine "Big Joe" dans "Spirou". À signaler que cette série est également présente en 1980 dans "Super-As". En 1982, pour "Spirou-Album +", il conçoit "La Raque à mal", sur un texte de Benoist. Toujours pour "Spirou", après quelques gags du "Plombier" puis de "La vie secrète des poubelles", scénarisé par Dugomier, il anime "Cupidon" avec Raoul Cauvin à partir de 1988. Malik réalise également des illustrations dans le magazine "Schtroumpf", en 1989 et dans "Le Soir", en 1992. Pour les éditions "Topgame" et aux côtés de Daniel Kox, Louis-Michel Carpentier et Jidéhem il participe aux recueils "Chansons Cochonnes" (trois volumes de 1990 à 1993). En 1996, il s'associe avec l'humoriste Stéphane Steeman le temps d'une histoire intitulée "Gertrude au pays des belges". Passant avec une apparente facilité d'un graphisme réaliste à un traité humoristique, Malik pratique une Bande Dessinée dynamique et originale. Quand la Bande Dessinée lui en laisse le loisir, c'est à la peinture et surtout à sa passion la plus étrange que Malik aime consacrer son temps : les araignées venimeuses et autres reptiles de redoutable réputation. Il prétend avoir élevé les trois quarts des mygales de Belgique, et est très fier d'avoir réussi à faire se reproduire la célèbre Lycose de Narbonne, "l'araignée-loup", une tarentule chasseresse décrite par son cher Fabre...

AVIS D'UTILISATEURS

FIRST:xfirstword - "Avec Vauban"
stdClass Object ( [audiences] => [domains] => Array ( [0] => 9208 ) )

Ceci pourrait également vous intéresser...

Bernadette, affaire non classée

Une bande dessinée pour découvrir la célèbre histoire de Bernadette…

Klimt

Vienne, 1907. Le peintre Gustav Klimt rend visite aux époux Bloch-Bauer. Ferdinand demande alors à Gustav de réaliser le portrait de sa femme, Adèle ; requête entraînant un flashback. Six ans auparavant, alors que Klimt essuyait des critiques acerbes au sujet de son œuvre La Médecine , il a rencontré ce couple, admirateur de son génie et dont la femme l’a prié de lui ouvrir les portes de son atelier. Au même moment, l’artiste recevait en rêve l’inspiration pour son prochain tableau. C’est par ce prisme que l’on entre dans l’univers de l’artiste : son atelier, ses modèles, sa mère, sa compagne, Émilie, mais aussi ses rêves, ses angoisses, ses sources d’inspiration en somme. L’histoire narrée en bande dessinée par Cornette et Marc-Renier est une tranche de vie, prétexte à l’évocation du peintre, de son style, de son époque et de l’avant-gardisme dont il y faisait preuve. L’idée est en effet plus de mettre en avant ses particularités que de réaliser sa biographie. Le récit est assez simple et aurait peu d’intérêt sans l’aspect « inspiré de faits réels », mais n’en est pas moins cohérent et bien rythmé.Les dessins sont soigneusement détaillés. Le rendu est classique, avec un crayonné assez fort accentuant les sujets principaux. Les travaux de Klimt évoqués sont réinterprétés plutôt que cités et le résultat est réussi et efficace : le redesign des œuvres permet une intégration fluide dans les cases tout en invitant à les découvrir sous un angle neuf.Le récit principal est suivi d’un court cahier didactique sur Gustav Klimt. Il complète la bande dessinée en développant quelques sujets qu’elle évoque. On y voit notamment des reproductions des œuvres évoquées dans l’album. Ainsi, le lecteur a à portée de main de quoi satisfaire sa curiosité, titillée par l’histoire racontée en images et phylactères.La bande dessinée Klimt est une introduction sympathique à l’œuvre de l’artiste. Les connaisseurs n’apprendront probablement pas grand-chose, là où les néophytes apprécieront l’accessibilité du propos et les informations proposées en fin d’ouvrage. Les visuels soignés plairont aux amateurs de bande dessinée traditionnelle, alors que l’histoire…

Les Schtroumpfs, T.28 La grande Schtroumpfette

La Schtroumpfette a la sensation que si tout le monde l'adore, elle n'est en revanche pas prise au sérieux. Pour lui donner l'occasion de s'affirmer,…