Le peintre Guillaume Cornelius van Beverloo, hollandais né à Liège, l’un des six fondateurs du mouvement Cobra, avait pris pour nom d’artiste celui d’un oiseau noir : la corneille. Pour autant, et comme par ironie, sa peinture, d’une luminosité absolue, pénètre l’oeil et irrigue tout le corps.
Et c’est justement cela, cette clarté, cette joie bue par le corps en ses espaces intimes, que célèbre magnifiquement Pierre Schroven dans ce livre où chaque poème – « tournant dans la beauté de l’énigme que contient chaque jour » – est une célébration de la vie ample. De la vie large. Et de ce corps artiste toujours en pleine métamorphose.
Échange Virtualité délaissée des rêves du cybernespace, Virtuosité inconsciente aux vents…